Le projet de loi 23.19 sur les organisations syndicales, porté par le ministère de l’Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l’Emploi et des Compétences, revient au cœur du débat social. Son objectif : moderniser le cadre juridique des syndicats et renforcer la gouvernance du dialogue social.
Le ministre Younes Sekkouri a récemment affirmé que son département avait soumis ce texte à plusieurs reprises aux partenaires sociaux afin de recueillir leurs observations et propositions. Une nouvelle mouture a ainsi été élaborée, intégrant notamment les recommandations du Conseil économique, social et environnemental (CESE). Une démarche qui s’inscrit dans une volonté d’élargir la concertation pour aboutir à une réforme équilibrée et acceptable par toutes les parties.
La mise en place d’un cadre réglementaire plus structuré pour les organisations syndicales est un enjeu majeur. Le gouvernement insiste sur l’importance de la représentativité syndicale, de la transparence dans la gestion des syndicats et du respect des engagements pris dans le cadre du dialogue social. Une approche qui vise à rationaliser l’action syndicale et à assurer une meilleure protection des droits des travailleurs tout en garantissant une stabilité aux entreprises.
Cependant, la réforme suscite des interrogations parmi les acteurs concernés. Certains syndicats estiment que le projet de loi doit aller plus loin en matière de garanties pour les travailleurs, notamment sur la reconnaissance et le financement des syndicats, ainsi que sur les modalités de négociation collective. D’autres craignent que des dispositions trop restrictives ne limitent la liberté d’action des organisations syndicales.
Dans ce contexte, le gouvernement mise sur l’approche participative pour lever les réticences et trouver un terrain d’entente. « Nous voulons une réforme qui soit le fruit d’un consensus et qui réponde aux aspirations des travailleurs et des employeurs », a insisté Sekkouri. Reste à savoir si cette version remaniée du projet de loi saura concilier les attentes des syndicats avec les impératifs économiques et sociaux du pays.
Le texte devrait être prochainement examiné au Parlement, où il fera l’objet de discussions approfondies. Son adoption marquera une étape clé dans la refonte du paysage syndical marocain, avec pour ambition d’asseoir un dialogue social plus structuré et plus efficace.
Le ministre Younes Sekkouri a récemment affirmé que son département avait soumis ce texte à plusieurs reprises aux partenaires sociaux afin de recueillir leurs observations et propositions. Une nouvelle mouture a ainsi été élaborée, intégrant notamment les recommandations du Conseil économique, social et environnemental (CESE). Une démarche qui s’inscrit dans une volonté d’élargir la concertation pour aboutir à une réforme équilibrée et acceptable par toutes les parties.
La mise en place d’un cadre réglementaire plus structuré pour les organisations syndicales est un enjeu majeur. Le gouvernement insiste sur l’importance de la représentativité syndicale, de la transparence dans la gestion des syndicats et du respect des engagements pris dans le cadre du dialogue social. Une approche qui vise à rationaliser l’action syndicale et à assurer une meilleure protection des droits des travailleurs tout en garantissant une stabilité aux entreprises.
Cependant, la réforme suscite des interrogations parmi les acteurs concernés. Certains syndicats estiment que le projet de loi doit aller plus loin en matière de garanties pour les travailleurs, notamment sur la reconnaissance et le financement des syndicats, ainsi que sur les modalités de négociation collective. D’autres craignent que des dispositions trop restrictives ne limitent la liberté d’action des organisations syndicales.
Dans ce contexte, le gouvernement mise sur l’approche participative pour lever les réticences et trouver un terrain d’entente. « Nous voulons une réforme qui soit le fruit d’un consensus et qui réponde aux aspirations des travailleurs et des employeurs », a insisté Sekkouri. Reste à savoir si cette version remaniée du projet de loi saura concilier les attentes des syndicats avec les impératifs économiques et sociaux du pays.
Le texte devrait être prochainement examiné au Parlement, où il fera l’objet de discussions approfondies. Son adoption marquera une étape clé dans la refonte du paysage syndical marocain, avec pour ambition d’asseoir un dialogue social plus structuré et plus efficace.