Les gardiens de voitures en danger ?
L’un des aspects clés de cette réforme est l’introduction généralisée d’horodateurs électroniques. Avec seulement 15 000 des 45 000 appareils prévus actuellement en service, la ville doit installer 30 000 nouveaux horodateurs pour mettre un terme aux activités des gardiens de voitures non autorisés. Cette démarche vise non seulement à réguler le stationnement, mais aussi à offrir une solution plus pratique et accessible aux usagers.
Cependant, cette transition ne se fera pas sans un accompagnement social. La mairie prévoit des mesures pour soutenir les gardiens de voitures touchés par ces changements. En tenant compte des 800 000 places de stationnement disponibles à Casablanca, des critères sociaux seront établis pour accorder des autorisations, évitant ainsi un désordre supplémentaire tout en préservant les droits des travailleurs concernés.
Cette réforme fait suite à une décision antérieure du conseil communal, qui avait gelé l’octroi de nouvelles autorisations de gardiennage. Une tentative précédente de déléguer cette gestion aux présidents d’arrondissements avait échoué, rendant cette nouvelle initiative d’autant plus cruciale.
Une Réaction des Gardiens de Voitures
Face à cette réforme, les gardiens de voitures officiels de la ville expriment leur mécontentement. Ils réclament une révision des décisions prises et demandent un cadre contractuel clair, ainsi que des mesures de régularisation pour protéger leurs droits. L’Association nationale Sanad a même proposé un cahier des charges à la présidente du conseil communal, visant à organiser temporairement l’exploitation du domaine public pour le stationnement. Cette démarche a pour but de limiter les abus liés aux gardiens illégaux, qui suscitent de nombreuses plaintes de la part des citoyens.
Cependant, cette transition ne se fera pas sans un accompagnement social. La mairie prévoit des mesures pour soutenir les gardiens de voitures touchés par ces changements. En tenant compte des 800 000 places de stationnement disponibles à Casablanca, des critères sociaux seront établis pour accorder des autorisations, évitant ainsi un désordre supplémentaire tout en préservant les droits des travailleurs concernés.
Cette réforme fait suite à une décision antérieure du conseil communal, qui avait gelé l’octroi de nouvelles autorisations de gardiennage. Une tentative précédente de déléguer cette gestion aux présidents d’arrondissements avait échoué, rendant cette nouvelle initiative d’autant plus cruciale.
Une Réaction des Gardiens de Voitures
Face à cette réforme, les gardiens de voitures officiels de la ville expriment leur mécontentement. Ils réclament une révision des décisions prises et demandent un cadre contractuel clair, ainsi que des mesures de régularisation pour protéger leurs droits. L’Association nationale Sanad a même proposé un cahier des charges à la présidente du conseil communal, visant à organiser temporairement l’exploitation du domaine public pour le stationnement. Cette démarche a pour but de limiter les abus liés aux gardiens illégaux, qui suscitent de nombreuses plaintes de la part des citoyens.