Sala Al Moustakbal est née de cette philosophie.
Non pas comme un projet figé, mais comme un organisme vivant, capable d’évoluer, de s’adapter, de douter parfois, mais toujours d’avancer.
Depuis vingt ans, l’association n’a cessé de tisser des liens, d’ouvrir des perspectives, de soutenir sans jamais laisser de côté petite ou grande idée et d’accompagner sans jamais imposer.
Mais toute œuvre collective a besoin d’une énergie constante, d’un moteur humain qui veille, relance, fédère, rassemble quand les forces s’essoufflent.
Et cette énergie a un nom :
Le compagnon “ Lahbib” Benmalek.
Dans l’ombre des discours et loin des projecteurs, il est le véritable dynamo de Sala Al Moustakbal. Celui qui travaille sans compter, qui croit à l’équipe avant de croire à lui-même, qui privilégie la collaboration à la mise en avant personnelle.
Son engagement est fait de présence quotidienne, de disponibilité, de fidélité aux valeurs fondatrices. Il connaît les rouages, mais surtout les personnes.
Il sait que les associations tiennent moins par les statuts que par la chaleur humaine.
Depuis vingt ans, l’association n’a cessé de tisser des liens, d’ouvrir des perspectives, de soutenir sans jamais laisser de côté petite ou grande idée et d’accompagner sans jamais imposer.
Mais toute œuvre collective a besoin d’une énergie constante, d’un moteur humain qui veille, relance, fédère, rassemble quand les forces s’essoufflent.
Et cette énergie a un nom :
Le compagnon “ Lahbib” Benmalek.
Dans l’ombre des discours et loin des projecteurs, il est le véritable dynamo de Sala Al Moustakbal. Celui qui travaille sans compter, qui croit à l’équipe avant de croire à lui-même, qui privilégie la collaboration à la mise en avant personnelle.
Son engagement est fait de présence quotidienne, de disponibilité, de fidélité aux valeurs fondatrices. Il connaît les rouages, mais surtout les personnes.
Il sait que les associations tiennent moins par les statuts que par la chaleur humaine.
Entre Pr Moulay Ismaïl Alaoui et "Arrafik" Benmalek, il n’y a pas une hiérarchie figée, mais une complémentarité naturelle.
L’un apporte la vision, la profondeur, le sens. L’autre insuffle l’énergie, la continuité, l’action concrète.
Ensemble, avec toute une équipe soudée, ils ont fait de Sala Al Moustakbal un espace de travail collectif, où chacun trouve sa place, sa voix et sa responsabilité.
Au cours de la célébration du 20ᵉ anniversaire de l’association ( samedi 13 décembre 2025), un moment d’émotion particulière est venu suspendre le temps.
Un hommage appuyé a été rendu aux professeurs Moulay Ismaïl Alaoui et Mohammed Naciri, deux figures dont l’engagement intellectuel et humain a profondément marqué l’ADN de Sala Al Moustakbal.
Plusieurs présents symboliques leur ont été offerts, parmi lesquels le livre « La musique marocaine, patrimoine riche et diversité » du grand artiste marocain Salah Cherki.
Un livre d’une grande valeur artistique, car, il retrace retrace le parcours historique de quatre frages de la musique marocaine : l’Andalouse, le folklore, la moderne et la kanoun.
Et comme un clin d’œil à la transmission entre les arts et l’action associative, la musique du kanoun de ce maître virtuose a accompagné tout le film documentaire retraçant vingt années d’activités intenses de l’association.
Les images défilaient, portées par les cordes du kanoun, mêlant mémoire, culture et engagement citoyen dans une même respiration.
Ensemble, avec toute une équipe soudée, ils ont fait de Sala Al Moustakbal un espace de travail collectif, où chacun trouve sa place, sa voix et sa responsabilité.
Au cours de la célébration du 20ᵉ anniversaire de l’association ( samedi 13 décembre 2025), un moment d’émotion particulière est venu suspendre le temps.
Un hommage appuyé a été rendu aux professeurs Moulay Ismaïl Alaoui et Mohammed Naciri, deux figures dont l’engagement intellectuel et humain a profondément marqué l’ADN de Sala Al Moustakbal.
Plusieurs présents symboliques leur ont été offerts, parmi lesquels le livre « La musique marocaine, patrimoine riche et diversité » du grand artiste marocain Salah Cherki.
Un livre d’une grande valeur artistique, car, il retrace retrace le parcours historique de quatre frages de la musique marocaine : l’Andalouse, le folklore, la moderne et la kanoun.
Et comme un clin d’œil à la transmission entre les arts et l’action associative, la musique du kanoun de ce maître virtuose a accompagné tout le film documentaire retraçant vingt années d’activités intenses de l’association.
Les images défilaient, portées par les cordes du kanoun, mêlant mémoire, culture et engagement citoyen dans une même respiration.
Vingt ans après sa création, Sala Al Moustakbal n’est pas un souvenir.
C’est une présence active dans la cité. Une mémoire en mouvement. Un futur qui s’écrit au présent.
En célébrant cet anniversaire, Salé ne célèbre pas seulement une association.
Elle rend hommage à une manière de faire, à une éthique de l’engagement, à des femmes et des hommes qui ont choisi la constance plutôt que l’éclat, la construction patiente plutôt que l’urgence médiatique.
Le 19 décembre 2004 a ouvert un chemin.
Vingt ans plus tard, ce chemin est toujours là, éclairé par la sagesse du Pr Moulay Ismaïl Alaoui, honoré aux côtés du Pr Mohammed Naciri, porté par l’énergie fraternelle de lahbib Benmalek, et nourri par l’esprit d’équipe qui fait de Sala Al Moustakbal (سلا المستقبل) bien plus qu’une association : une promesse tenue.
Bon vent les nouveaux corsaires de Salé
Par Anwar CHERKAOUI
En célébrant cet anniversaire, Salé ne célèbre pas seulement une association.
Elle rend hommage à une manière de faire, à une éthique de l’engagement, à des femmes et des hommes qui ont choisi la constance plutôt que l’éclat, la construction patiente plutôt que l’urgence médiatique.
Le 19 décembre 2004 a ouvert un chemin.
Vingt ans plus tard, ce chemin est toujours là, éclairé par la sagesse du Pr Moulay Ismaïl Alaoui, honoré aux côtés du Pr Mohammed Naciri, porté par l’énergie fraternelle de lahbib Benmalek, et nourri par l’esprit d’équipe qui fait de Sala Al Moustakbal (سلا المستقبل) bien plus qu’une association : une promesse tenue.
Bon vent les nouveaux corsaires de Salé
Par Anwar CHERKAOUI