Les lauréats de cette édition sont Asmae Berrada, Amine Belhadi, Foued Saâdaoui, Khaled Mokni, Mohamed Bakhouya et Said Ahzi. Leurs noms apparaissent dans la base de données SCOPUS, référence internationale pour l’indexation des publications scientifiques.
Le classement de Stanford s’appuie sur des critères stricts : nombre de citations, impact des travaux, collaborations internationales, et influence mesurée sur la communauté scientifique mondiale. En clair, il ne s’agit pas d’un simple palmarès, mais d’un indicateur de rayonnement académique et d’impact global.
Pour l’Université internationale de Rabat, cette distinction confirme sa place de leader académique africain. L’établissement se félicite de son écosystème de recherche appliquée qui relie ingénierie, sciences sociales, santé et technologies de l’information.
L’UIR rappelle qu’elle occupe la première place africaine en matière de dépôts de brevets et figure dans le classement Times Higher Education (THE) Impact comme meilleure université marocaine.
Cette performance illustre la stratégie du Maroc pour ancrer l’innovation et la science dans son modèle de développement, avec un accent sur la formation, la recherche appliquée et le transfert technologique.
Cette reconnaissance internationale s’inscrit dans une dynamique plus large : celle d’un Maroc qui investit de plus en plus dans la science et la technologie. Avec des initiatives telles que le Plan national de recherche et d’innovation 2030, le Royaume cherche à former une nouvelle génération de chercheurs, capables de rivaliser à l’échelle mondiale.
L’UIR, à travers ses partenariats avec des universités européennes, américaines et africaines, entend accélérer la production scientifique marocaine et renforcer sa visibilité sur la scène internationale.Un message fort : le génie marocain s’exporte désormais par les publications, pas seulement par les talents sportifs ou artistiques.