Une menace sourde mais redoutable plane sur les comptes bancaires des Marocains. Ces derniers jours, plusieurs établissements financiers ont déclenché l’alerte, appelant leurs clients à une vigilance extrême face à une recrudescence inquiétante d’attaques informatiques. Derrière des écrans anonymes, les cybercriminels redoublent d’ingéniosité pour tromper, usurper et voler.
Phishing, usurpation d’identité, applications infectées, faux sites bancaires : le paysage numérique est devenu un champ de mines. Les messages d’alerte ne sont plus de simples rappels de sécurité, mais de véritables signaux d’alarme. Ce que révèle Assabah dans son édition du 18 avril est glaçant : les banques marocaines sont prises pour cibles dans un contexte où même les infrastructures étatiques montrent des signes de vulnérabilité.
Les victimes reçoivent des courriels alarmants, prétendument envoyés par leur banque, ou des appels téléphoniques où des voix assurées se présentent comme conseillers clientèle. En réalité, ce sont des escrocs qui exploitent la confiance et l’urgence pour soutirer des données sensibles : mots de passe, numéros de carte, identifiants d’accès. Le but est simple : siphonner les comptes.
Pire encore, les téléphones portables sont devenus des portes d’entrée ouvertes. De nouveaux malwares ultra-sophistiqués, souvent installés à l’insu de l’utilisateur via des pièces jointes ou des applications douteuses, permettent aux pirates de surveiller les frappes clavier, détourner les SMS de validation, et accéder aux comptes comme s’ils étaient le titulaire légitime. Ces virus peuvent même se propager entre appareils via des messages envoyés depuis des contacts familiers.
Les applications bancaires mobiles, pourtant sécurisées, deviennent des cibles de choix. Même avec des mots de passe robustes, les criminels exploitent les numéros de téléphone associés pour contourner les protections. Des cas récents de retraits frauduleux complexes confirment que ces attaques relèvent désormais du crime organisé numérique.
Face à ce fléau rampant, les banques renforcent leurs systèmes, mais insistent : la première barrière, c’est vous. Ne cliquez sur rien, ne donnez rien, ne faites confiance à personne, même si le message semble provenir d’un ami ou de votre propre banque. Une erreur peut coûter cher. Trop cher.
Phishing, usurpation d’identité, applications infectées, faux sites bancaires : le paysage numérique est devenu un champ de mines. Les messages d’alerte ne sont plus de simples rappels de sécurité, mais de véritables signaux d’alarme. Ce que révèle Assabah dans son édition du 18 avril est glaçant : les banques marocaines sont prises pour cibles dans un contexte où même les infrastructures étatiques montrent des signes de vulnérabilité.
Les victimes reçoivent des courriels alarmants, prétendument envoyés par leur banque, ou des appels téléphoniques où des voix assurées se présentent comme conseillers clientèle. En réalité, ce sont des escrocs qui exploitent la confiance et l’urgence pour soutirer des données sensibles : mots de passe, numéros de carte, identifiants d’accès. Le but est simple : siphonner les comptes.
Pire encore, les téléphones portables sont devenus des portes d’entrée ouvertes. De nouveaux malwares ultra-sophistiqués, souvent installés à l’insu de l’utilisateur via des pièces jointes ou des applications douteuses, permettent aux pirates de surveiller les frappes clavier, détourner les SMS de validation, et accéder aux comptes comme s’ils étaient le titulaire légitime. Ces virus peuvent même se propager entre appareils via des messages envoyés depuis des contacts familiers.
Les applications bancaires mobiles, pourtant sécurisées, deviennent des cibles de choix. Même avec des mots de passe robustes, les criminels exploitent les numéros de téléphone associés pour contourner les protections. Des cas récents de retraits frauduleux complexes confirment que ces attaques relèvent désormais du crime organisé numérique.
Face à ce fléau rampant, les banques renforcent leurs systèmes, mais insistent : la première barrière, c’est vous. Ne cliquez sur rien, ne donnez rien, ne faites confiance à personne, même si le message semble provenir d’un ami ou de votre propre banque. Une erreur peut coûter cher. Trop cher.