Le média accuse en particulier Alger d’offrir un appui logistique et politique à certains groupes armés actifs dans le nord du Mali : structures présentées comme des rébellions mais accusées par Bamako de pratiques terroristes contre des civils. Toujours d’après le quotidien, plusieurs éléments de ces groupes trouveraient refuge de l’autre côté de la frontière, avec parfois – allégation sensible – des facilités promises en matière de statut ou de naturalisation.