Des gouttes nasales à base d’anticorps monoclonaux ont permis d’améliorer les fonctions cognitives chez des modèles murins d’Alzheimer, quel que soit le niveau de plaques amyloïdes. Le médicament — initialement développé pour traiter la sclérose en plaques (SEP) — agit en réduisant l’inflammation cérébrale. Son mode d’action offre un espoir de guérison pour les personnes présentant un stade avancé de la maladie.