Les 6 et 7 septembre prochains, la ville de Nimègue, aux Pays-Bas, sera le théâtre d’une rencontre musicale exceptionnelle. Avec "Die Licht", le compositeur néerlandais Theo Hoek offre une œuvre à la croisée des mondes, où Orient et Occident se mêlent pour raconter la lumière sous toutes ses nuances. Au cœur de cette création, une voix marocaine retient l’attention : celle d’Anass Habib, artiste originaire de Fès, qui incarne avec élégance la profondeur de la tradition musicale arabe.
Un contexte lumineux : entre musique et spiritualité
Theo Hoek n’en est pas à son premier coup d’éclat. Après avoir exploré les ombres de la dépression avec "Die Donker", il revient cette fois avec une œuvre dédiée à la lumière, à la tendresse et à l’espoir. Pour cette nouvelle création, le compositeur mise sur un dialogue interculturel et intergénérationnel. Le projet rassemble des artistes venus des quatre coins du monde, avec des sonorités qui vont du sarangi indien au saxophone baryton, en passant par les percussions et le saz.
Dans ce tableau musical et visuel, les voix jouent un rôle central. Parmi elles, celle d’Anass Habib, qui apporte une profondeur spirituelle et une richesse émotionnelle à l’œuvre. Habib, accompagné d’autres artistes comme l’Indienne Prewien Pandohi-Mishre et la Néerlando-Tchèque Marianne Svašek, incarne la rencontre entre les traditions musicales arabes et les sonorités occidentales.
Zoom sur Anass Habib : une carrière entre Orient et Occident
De son vrai nom Anass Azami Hassani, le chanteur marocain a toujours baigné dans la musique. Né à Fès, il interprétait déjà, à cinq ans, les mélodies classiques arabes avec une aisance étonnante. Après un premier concert à douze ans, il poursuit sa formation musicale en Syrie, où il se plonge dans les techniques du chant arabe classique auprès des maîtres du maqam. Son parcours l’amène ensuite au Liban, où il affine son art avec Ghada Shbeir, avant de rejoindre à Paris la célèbre Sœur Marie Keyrouz, spécialiste du chant sacré oriental.
Aujourd’hui, Anass Habib est un artiste accompli, avec un répertoire qui va de Fairouz à Oum Kalthoum, en passant par Sabah Fakhri et Ziad Rahbani. Il chante en arabe, mais aussi en araméen, en ladino et en grec ancien. Ses performances, souvent a cappella, transportent le public dans un voyage musical et spirituel.
Un contexte lumineux : entre musique et spiritualité
Theo Hoek n’en est pas à son premier coup d’éclat. Après avoir exploré les ombres de la dépression avec "Die Donker", il revient cette fois avec une œuvre dédiée à la lumière, à la tendresse et à l’espoir. Pour cette nouvelle création, le compositeur mise sur un dialogue interculturel et intergénérationnel. Le projet rassemble des artistes venus des quatre coins du monde, avec des sonorités qui vont du sarangi indien au saxophone baryton, en passant par les percussions et le saz.
Dans ce tableau musical et visuel, les voix jouent un rôle central. Parmi elles, celle d’Anass Habib, qui apporte une profondeur spirituelle et une richesse émotionnelle à l’œuvre. Habib, accompagné d’autres artistes comme l’Indienne Prewien Pandohi-Mishre et la Néerlando-Tchèque Marianne Svašek, incarne la rencontre entre les traditions musicales arabes et les sonorités occidentales.
Zoom sur Anass Habib : une carrière entre Orient et Occident
De son vrai nom Anass Azami Hassani, le chanteur marocain a toujours baigné dans la musique. Né à Fès, il interprétait déjà, à cinq ans, les mélodies classiques arabes avec une aisance étonnante. Après un premier concert à douze ans, il poursuit sa formation musicale en Syrie, où il se plonge dans les techniques du chant arabe classique auprès des maîtres du maqam. Son parcours l’amène ensuite au Liban, où il affine son art avec Ghada Shbeir, avant de rejoindre à Paris la célèbre Sœur Marie Keyrouz, spécialiste du chant sacré oriental.
Aujourd’hui, Anass Habib est un artiste accompli, avec un répertoire qui va de Fairouz à Oum Kalthoum, en passant par Sabah Fakhri et Ziad Rahbani. Il chante en arabe, mais aussi en araméen, en ladino et en grec ancien. Ses performances, souvent a cappella, transportent le public dans un voyage musical et spirituel.
« Mon objectif est de préserver et transmettre cet héritage riche à la nouvelle génération », confie-t-il lors d’une interview.
A écouter d’urgence si…
Si vous êtes fan de Fairouz ou d’Oum Kalthoum, ou si vous aimez les projets qui mêlent musique et spiritualité, ‘Die Licht’ est fait pour vous. Avec Anass Habib, le Maroc brille une fois de plus sur la scène internationale. Alors, rendez-vous à Nimègue pour une expérience lumineuse qui promet d’être mémorable. Et si vous ne pouvez pas y aller, gardez un œil sur les prochaines dates de tournée !
