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Chers compatriotes, tendez bien l’oreille : cette année, c’est officiel, le mouton ne bêlera pas dans nos arrière-cours ! Les aurorités l’ont annoncé le cœur léger (et l’esprit pragmatique) : pas de sacrifice pour l’Aïd Al Adha 1446. La faute à… un cheptel en mode régime sec depuis cinq ans, littéralement parti avec la dernière goutte de pluie. Résultat : une décision halalement courageuse, afin de laisser nos brebis repeupler les collines en paix.
Mais attendez… ne rangez pas vos barbecues tout de suite. Parce que si le mouton manque à l’appel, la douara, elle, fait son entrée en fanfare – et en flamme – sur le marché noir de l’abat ! Car ô surprise économique : alors que le prix de la viande a eu la politesse de baisser (merci, offre/demande), la douara, le boulfaf et leurs amis digestifs ont pris la grosse tête. Oui, mesdames et messieurs : les tripes ont triplé.
Un phénomène rare mais bien marocain : plus on mange moins, plus ça coûte cher ! Cette année, un cœur de mouton vaut un lingot, un foie grillé sur pique équivaut à un ticket de concert VIP, et la brochette de boulfaf se monnaie à prix d’or, façon NFT culinaire. Les vendeurs au coin des rues se prennent pour des traders de Wall Street : “Chouf had tkal, origine Béni Mellal, nourri aux pelures de pastèque… dix fois plus tendre que le Bitcoin.”
Quant aux familles marocaines, elles improvisent : “Cette année, on ne sacrifie pas… mais on fera la douara symbolique avec un peu de veau et beaucoup de foi !” Les anciens racontent même que pendant la sécheresse des années 80, on avait inventé la douara végétarienne – courgette, navet, un soupçon de cumin et une larme de nostalgie.
Finalement, l’Aïd 2025 au Maroc, ce sera un peu comme un couscous sans semoule : ça manque, mais on s’adapte ! Les enfants dessineront des moutons sur les murs, les papas allumeront des barbecues pour chauffer l’ambiance, et les mamans négocieront un rein contre une barquette de foie.
Quant à nous, pauvres chroniqueurs, on vous souhaite une fête douce, un peu moins saignante, mais toujours pleine de chaleur humaine et de cumin dans l’air. Et surtout, souvenez-vous : l’Aïd, ce n’est pas que le mouton, c’est aussi l’occasion de rigoler entre deux bouchées de brochette… même à crédit.
Mais attendez… ne rangez pas vos barbecues tout de suite. Parce que si le mouton manque à l’appel, la douara, elle, fait son entrée en fanfare – et en flamme – sur le marché noir de l’abat ! Car ô surprise économique : alors que le prix de la viande a eu la politesse de baisser (merci, offre/demande), la douara, le boulfaf et leurs amis digestifs ont pris la grosse tête. Oui, mesdames et messieurs : les tripes ont triplé.
Un phénomène rare mais bien marocain : plus on mange moins, plus ça coûte cher ! Cette année, un cœur de mouton vaut un lingot, un foie grillé sur pique équivaut à un ticket de concert VIP, et la brochette de boulfaf se monnaie à prix d’or, façon NFT culinaire. Les vendeurs au coin des rues se prennent pour des traders de Wall Street : “Chouf had tkal, origine Béni Mellal, nourri aux pelures de pastèque… dix fois plus tendre que le Bitcoin.”
Quant aux familles marocaines, elles improvisent : “Cette année, on ne sacrifie pas… mais on fera la douara symbolique avec un peu de veau et beaucoup de foi !” Les anciens racontent même que pendant la sécheresse des années 80, on avait inventé la douara végétarienne – courgette, navet, un soupçon de cumin et une larme de nostalgie.
Finalement, l’Aïd 2025 au Maroc, ce sera un peu comme un couscous sans semoule : ça manque, mais on s’adapte ! Les enfants dessineront des moutons sur les murs, les papas allumeront des barbecues pour chauffer l’ambiance, et les mamans négocieront un rein contre une barquette de foie.
Quant à nous, pauvres chroniqueurs, on vous souhaite une fête douce, un peu moins saignante, mais toujours pleine de chaleur humaine et de cumin dans l’air. Et surtout, souvenez-vous : l’Aïd, ce n’est pas que le mouton, c’est aussi l’occasion de rigoler entre deux bouchées de brochette… même à crédit.