Dès l’entame, la confrontation a offert un rythme élevé et beaucoup d’engagement. Le Mali s’est montré dangereux très tôt, avec une frappe de Coulibaly dès la 2e minute, suivie d’une incursion menaçante de Bissouma. Les hommes d’Éric Chelle ont cherché à se projeter rapidement vers l’avant afin de surprendre la défense marocaine.
Progressivement, le Maroc a pris le contrôle du jeu et s’est installé dans le camp adverse, porté par un Brahim Diaz omniprésent dans l’entrejeu. À la 17e minute, le joueur du Real Madrid s’est créé une première occasion, repoussée par le portier malien, avant que Saibari, à bout portant, ne manque le cadre. Une opportunité manquée qui aurait pu faire basculer la rencontre.
Quelques instants plus tard, un centre de Mazraoui provoque un cafouillage dans la surface, mais la tentative de Saibari est une nouvelle fois contrée. Très actif sur son côté, le latéral marocain a multiplié les projections offensives durant la première demi-heure. Alors que la mi-temps semblait se profiler sur un score nul et vierge, le Maroc a finalement trouvé l’ouverture dans le temps additionnel. À la 45e minute, Brahim Diaz élimine son vis-à-vis dans la surface et force Gassama à intervenir de la main. Après recours à la VAR, l’arbitre désigne le point de penalty. Diaz se fait justice lui-même et transforme sans trembler (45e+5), offrant aux Lions de l’Atlas un avantage précieux juste avant la pause.
Au retour des vestiaires, les Marocains ont poursuivi sur le même rythme, portés par un public acquis à leur cause. Le pressing haut imposé par les hommes de Walid Regragui a rapidement mis le Mali en difficulté. Sur un coup franc joué à deux, Anass Salah-Eddine adresse un centre précis, mais Ayoub El-Kaabi, pourtant bien placé, manque sa tête et laisse passer une occasion franche de faire le break.
Le match s’est ensuite durci, les duels se multipliant. Coulibaly et Aguerd écopent chacun d’un avertissement, tandis que le Mali tente de rééquilibrer les débats avec l’entrée de Gaoussou Diarra à la place de Bissouma. Peu à peu, les Aigles maliens se montrent plus entreprenants. À la suite d’un contact entre Sinayoko et El Yamiq dans la surface, l’arbitre finit par accorder un penalty malgré les protestations marocaines. Sinayoko se charge de la transformation et trompe Yassine Bounou, remettant les deux équipes à égalité.
Dans le dernier quart d’heure, le rythme reste élevé. En-Nesyri tente sa chance, mais sa frappe est repoussée par le gardien malien. Le temps additionnel est marqué par de nombreuses fautes et contestations, sans que le score n’évolue. Malgré une domination marocaine dans la possession, la solidité défensive du Mali permet aux Aigles de préserver le match nul.
Au coup de sifflet final, Marocains et Maliens se quittent dos à dos, un résultat qui entretient le suspense dans ce groupe A et laisse toutes les options ouvertes avant la suite de la compétition.
Progressivement, le Maroc a pris le contrôle du jeu et s’est installé dans le camp adverse, porté par un Brahim Diaz omniprésent dans l’entrejeu. À la 17e minute, le joueur du Real Madrid s’est créé une première occasion, repoussée par le portier malien, avant que Saibari, à bout portant, ne manque le cadre. Une opportunité manquée qui aurait pu faire basculer la rencontre.
Quelques instants plus tard, un centre de Mazraoui provoque un cafouillage dans la surface, mais la tentative de Saibari est une nouvelle fois contrée. Très actif sur son côté, le latéral marocain a multiplié les projections offensives durant la première demi-heure. Alors que la mi-temps semblait se profiler sur un score nul et vierge, le Maroc a finalement trouvé l’ouverture dans le temps additionnel. À la 45e minute, Brahim Diaz élimine son vis-à-vis dans la surface et force Gassama à intervenir de la main. Après recours à la VAR, l’arbitre désigne le point de penalty. Diaz se fait justice lui-même et transforme sans trembler (45e+5), offrant aux Lions de l’Atlas un avantage précieux juste avant la pause.
Au retour des vestiaires, les Marocains ont poursuivi sur le même rythme, portés par un public acquis à leur cause. Le pressing haut imposé par les hommes de Walid Regragui a rapidement mis le Mali en difficulté. Sur un coup franc joué à deux, Anass Salah-Eddine adresse un centre précis, mais Ayoub El-Kaabi, pourtant bien placé, manque sa tête et laisse passer une occasion franche de faire le break.
Le match s’est ensuite durci, les duels se multipliant. Coulibaly et Aguerd écopent chacun d’un avertissement, tandis que le Mali tente de rééquilibrer les débats avec l’entrée de Gaoussou Diarra à la place de Bissouma. Peu à peu, les Aigles maliens se montrent plus entreprenants. À la suite d’un contact entre Sinayoko et El Yamiq dans la surface, l’arbitre finit par accorder un penalty malgré les protestations marocaines. Sinayoko se charge de la transformation et trompe Yassine Bounou, remettant les deux équipes à égalité.
Dans le dernier quart d’heure, le rythme reste élevé. En-Nesyri tente sa chance, mais sa frappe est repoussée par le gardien malien. Le temps additionnel est marqué par de nombreuses fautes et contestations, sans que le score n’évolue. Malgré une domination marocaine dans la possession, la solidité défensive du Mali permet aux Aigles de préserver le match nul.
Au coup de sifflet final, Marocains et Maliens se quittent dos à dos, un résultat qui entretient le suspense dans ce groupe A et laisse toutes les options ouvertes avant la suite de la compétition.
