Chaque équipe est assurée de repartir avec un minimum de 500 000 dollars, y compris en cas d’élimination dès la phase de groupes à la quatrième place. Cette somme constitue le socle de la grille des récompenses, laquelle augmente progressivement en fonction du parcours réalisé dans la compétition.
Ainsi, une sélection terminant troisième de son groupe sans accéder aux huitièmes de finale conservera également 500 000 dollars, tandis qu’un huitième de finaliste verra sa prime portée à 800 000 dollars.
Les dotations deviennent nettement plus conséquentes à partir des quarts de finale. Les équipes classées dans le Top 8 empocheront 1,3 million de dollars, alors que les deux sélections éliminées en demi-finales recevront chacune 2,5 millions de dollars.
Les finalistes bénéficieront logiquement des récompenses les plus élevées. Le vice-champion d’Afrique percevra 4 millions de dollars, tandis que le vainqueur de la CAN 2025 touchera la prime maximale de 7 millions de dollars, soit environ 6 millions d’euros.
Par ailleurs, des primes avaient déjà été attribuées lors des phases éliminatoires. Les équipes ayant terminé en tête de leur groupe avaient ainsi reçu 350 000 dollars, contre 250 000 dollars pour les sélections classées deuxièmes.
Avec de tels montants en jeu, la CAN 2025 dépasse le seul cadre sportif pour devenir un enjeu financier majeur pour les fédérations africaines, dans un contexte où la performance sur le terrain peut avoir un impact direct sur leur stabilité et leur développement.