Par Kamal El Hassane, journaliste stagiaire à LODJ Média
En décrochant à Nairobi leur troisième sacre au Championnat d’Afrique des Nations, les Lions de l’Atlas locaux confirment la domination marocaine sur le football continental. Mais à moins d’un an de la CAN 2025 organisée à domicile, cette victoire résonne aussi comme un rappel : désormais, seul un titre africain au plus haut niveau satisfera les attentes d’un peuple.
Les Lions de l’Atlas ont ajouté une nouvelle étoile à leur palmarès en dominant Madagascar (3-2) au terme d’une finale folle à Nairobi. Bousculés d’entrée par des Barea surprenants, les hommes de Tarik Sektioui ont réagi avec caractère grâce à Mehri puis à l’inévitable Lamlioui, auteur d’un doublé dont une frappe venue de nulle part, un geste d’anthologie qui a scellé le triomphe marocain. Au-delà de l’émotion, ce sacre consacre le Maroc comme la nation la plus titrée de l’histoire du CHAN, une place au sommet qui ne doit rien au hasard.
Car ce troisième titre n’est qu’un chapitre de plus dans une série de réussites qui marquent toutes les catégories. Demi-finale de Coupe du Monde en 2022, médaille olympique des U23 à Paris, finales féminines continentales, titres en U17 et en futsal… chaque sélection marocaine s’invite dans les ultimes rendez-vous, jusqu’à s’imposer comme une référence sur le continent. Les chiffres confirment, les statistiques valident, et même nos intuitions le savent : le Maroc a changé de dimension.
Mais au-delà de Nairobi, tous les regards sont déjà tournés vers 2025. La Coupe d’Afrique des Nations à domicile est bien plus qu’un tournoi, c’est une épreuve de vérité. Quarante-neuf ans après l’unique sacre continental de 1976, Achraf Hakimi et ses coéquipiers savent que l’histoire leur tend la main.
La pression sera énorme, car un peuple impatient réclame enfin ce deuxième titre, dans des stades flambant neufs bâtis pour l’occasion. Rabat et Tanger s’apprêtent à accueillir une compétition qui ne sera pas seulement sportive mais symbolique, un rendez-vous où le Maroc devra assumer son rôle de favori et transformer l’attente en triomphe.
Le Complexe Moulay Abdellah, joyau rénové, donnera le ton dès ce vendredi 5 septembre lors de la réception du Niger. Mais ce ne sera qu’un avant-goût, une mise en bouche. L’essentiel se jouera en janvier prochain, quand la ferveur populaire se transformera en force collective. Les Lions devront déjouer tous les pièges, affronter le poids de l’histoire et offrir à leur peuple une victoire qui, au-delà du terrain, unirait à nouveau toute une nation.
Le sacre de Nairobi n’était pas une conclusion, c’était une annonce. La prochaine étape, plus attendue que jamais, sera celle qui marquera définitivement l’entrée du Maroc dans le cercle fermé des grandes puissances du football africain.
Les Lions de l’Atlas ont ajouté une nouvelle étoile à leur palmarès en dominant Madagascar (3-2) au terme d’une finale folle à Nairobi. Bousculés d’entrée par des Barea surprenants, les hommes de Tarik Sektioui ont réagi avec caractère grâce à Mehri puis à l’inévitable Lamlioui, auteur d’un doublé dont une frappe venue de nulle part, un geste d’anthologie qui a scellé le triomphe marocain. Au-delà de l’émotion, ce sacre consacre le Maroc comme la nation la plus titrée de l’histoire du CHAN, une place au sommet qui ne doit rien au hasard.
Car ce troisième titre n’est qu’un chapitre de plus dans une série de réussites qui marquent toutes les catégories. Demi-finale de Coupe du Monde en 2022, médaille olympique des U23 à Paris, finales féminines continentales, titres en U17 et en futsal… chaque sélection marocaine s’invite dans les ultimes rendez-vous, jusqu’à s’imposer comme une référence sur le continent. Les chiffres confirment, les statistiques valident, et même nos intuitions le savent : le Maroc a changé de dimension.
Mais au-delà de Nairobi, tous les regards sont déjà tournés vers 2025. La Coupe d’Afrique des Nations à domicile est bien plus qu’un tournoi, c’est une épreuve de vérité. Quarante-neuf ans après l’unique sacre continental de 1976, Achraf Hakimi et ses coéquipiers savent que l’histoire leur tend la main.
La pression sera énorme, car un peuple impatient réclame enfin ce deuxième titre, dans des stades flambant neufs bâtis pour l’occasion. Rabat et Tanger s’apprêtent à accueillir une compétition qui ne sera pas seulement sportive mais symbolique, un rendez-vous où le Maroc devra assumer son rôle de favori et transformer l’attente en triomphe.
Le Complexe Moulay Abdellah, joyau rénové, donnera le ton dès ce vendredi 5 septembre lors de la réception du Niger. Mais ce ne sera qu’un avant-goût, une mise en bouche. L’essentiel se jouera en janvier prochain, quand la ferveur populaire se transformera en force collective. Les Lions devront déjouer tous les pièges, affronter le poids de l’histoire et offrir à leur peuple une victoire qui, au-delà du terrain, unirait à nouveau toute une nation.
Le sacre de Nairobi n’était pas une conclusion, c’était une annonce. La prochaine étape, plus attendue que jamais, sera celle qui marquera définitivement l’entrée du Maroc dans le cercle fermé des grandes puissances du football africain.