Le centre marocain de conjoncture établit un pronostic qui montre la résilience et la diversité du tissu économique national, ainsi que l'effort fournit par les pouvoirs publics en cette période de crise, afin de venir en aide aux ménages les plus vulnérables.
Ces efforts s'expriment aussi dans l'accompagnement et l'appui des secteurs qui ont le plus souffert des circonstances de la pandémie.
En outre, le CMC prévoit une croissance de 5,4% de l'économie nationale en 2023.
Néanmoins, cette croissance pourrait ne pas aboutir dans les termes prévus, en partie à cause du secteur agricole qui a connu une campagne particulièrement sèche l'année passée.
D'autant plus que les effets secondaires de la pandémie perdurent encore, et pourraient faire sujet de contrainte économiques, notamment l'inflation, la crise financière et les faillites des banques à renommée internationale.
Mais ce n'est pas pour autant que le secteur agricole ne se redressera pas. Le CMC fait savoir que l'agriculture connaîtrait un taux de croissance de 16%, "compensant et faisant oublier l'importante décrue que ce secteur a essuyé au cours de la campagne précédente".
Ces efforts s'expriment aussi dans l'accompagnement et l'appui des secteurs qui ont le plus souffert des circonstances de la pandémie.
En outre, le CMC prévoit une croissance de 5,4% de l'économie nationale en 2023.
Néanmoins, cette croissance pourrait ne pas aboutir dans les termes prévus, en partie à cause du secteur agricole qui a connu une campagne particulièrement sèche l'année passée.
D'autant plus que les effets secondaires de la pandémie perdurent encore, et pourraient faire sujet de contrainte économiques, notamment l'inflation, la crise financière et les faillites des banques à renommée internationale.
Mais ce n'est pas pour autant que le secteur agricole ne se redressera pas. Le CMC fait savoir que l'agriculture connaîtrait un taux de croissance de 16%, "compensant et faisant oublier l'importante décrue que ce secteur a essuyé au cours de la campagne précédente".
et les autres secteurs ?
L'économie marocaine bien évidement ne repose pas uniquement sur l'agriculture, on remarque le secteur des industries manufacturières qui contribuerait à l'évolution globale du PIB avec un taux de 3,2%.
Cette conjoncture en augmentation, plus précisément la hausse des cours de phosphates et de ses dérivés, ainsi que la bonne orientation de la demande extérieure, devrait perpétuer tout le long de l'exercice 2023.
Concernant le secteur des services, d'après les estimations du CMC, un taux d'accroissement de 4% serait en sa faveur, malgré sa détérioration en 2022 à cause des restrictions imposées par la crise sanitaire.
Ces estimations se trouvent optimistes par rapport à celles du HCP, qui prévoit une croissance du PIB de 3,3% en 2023, BAM avec une prévision de seulement 2,6%, et celle du gouvernement, inscrite sur la loi de finances 2023, de 4%.
Cette conjoncture en augmentation, plus précisément la hausse des cours de phosphates et de ses dérivés, ainsi que la bonne orientation de la demande extérieure, devrait perpétuer tout le long de l'exercice 2023.
Concernant le secteur des services, d'après les estimations du CMC, un taux d'accroissement de 4% serait en sa faveur, malgré sa détérioration en 2022 à cause des restrictions imposées par la crise sanitaire.
Ces estimations se trouvent optimistes par rapport à celles du HCP, qui prévoit une croissance du PIB de 3,3% en 2023, BAM avec une prévision de seulement 2,6%, et celle du gouvernement, inscrite sur la loi de finances 2023, de 4%.