Pourquoi la Beldia est-elle si prisée sur le marché mondial ?
C’est historique ! Le Maroc a expédié sa première cargaison légale de cannabis Beldia, une variété endémique riche en THC, via l’aéroport Mohammed-V. Une étape clé pour le lancement d’une industrie pharmaceutique prometteuse.
Le Maroc vient de franchir un cap décisif dans l’exploitation légale du cannabis. La première cargaison de cannabis Beldia, une variété locale prisée pour sa richesse en THC, a été exportée cette semaine depuis l’aéroport Mohammed-V. Cette opération marque le début d’une nouvelle ère pour le Royaume, qui ambitionne de devenir un acteur majeur dans le marché mondial du cannabis médical.
Cette exportation, supervisée par l’Agence nationale de régulation des activités liées au cannabis (ANRAC), s’inscrit dans le cadre de la légalisation partielle adoptée en 2021. Elle vise à valoriser les atouts naturels du Maroc, premier producteur mondial de cannabis, tout en encadrant strictement son usage à des fins pharmaceutiques et industrielles.
Pourquoi c’est important ? Le cannabis marocain, et plus particulièrement la Beldia, est reconnu pour sa qualité exceptionnelle. Cette exportation légale ouvre la voie à une transformation économique majeure pour les régions productrices, notamment dans le Rif, où des milliers de familles dépendent de cette culture.
Avec une demande mondiale croissante pour le cannabis médical, le Maroc espère attirer des investissements étrangers, créer des emplois et générer des revenus significatifs pour l’État. Cependant, ce développement soulève aussi des défis : comment garantir que les profits bénéficient aux petits agriculteurs et non uniquement aux grandes entreprises ?
De plus, la transition vers une filière légale nécessite un accompagnement des cultivateurs traditionnels, qui opèrent encore majoritairement dans l’illégalité.
Sur les réseaux sociaux, l’annonce a fait sensation. "Enfin une valorisation de notre patrimoine agricole !", s’enthousiasme un internaute. D’autres, plus sceptiques, s’interrogent sur les retombées réelles pour les petits producteurs.
Du côté des autorités, l’ANRAC se félicite de cette première exportation et promet un suivi rigoureux pour garantir la traçabilité et la qualité des produits. Les experts économiques, eux, saluent une initiative stratégique mais insistent sur la nécessité de développer un cadre équitable et durable.
Avec cette première exportation légale de cannabis Beldia, le Maroc entre dans une nouvelle phase de son histoire économique. La question est désormais de savoir si cette industrie émergente pourra réellement bénéficier aux communautés locales tout en positionnant le Royaume comme un leader mondial du cannabis médical.
Le Maroc vient de franchir un cap décisif dans l’exploitation légale du cannabis. La première cargaison de cannabis Beldia, une variété locale prisée pour sa richesse en THC, a été exportée cette semaine depuis l’aéroport Mohammed-V. Cette opération marque le début d’une nouvelle ère pour le Royaume, qui ambitionne de devenir un acteur majeur dans le marché mondial du cannabis médical.
Cette exportation, supervisée par l’Agence nationale de régulation des activités liées au cannabis (ANRAC), s’inscrit dans le cadre de la légalisation partielle adoptée en 2021. Elle vise à valoriser les atouts naturels du Maroc, premier producteur mondial de cannabis, tout en encadrant strictement son usage à des fins pharmaceutiques et industrielles.
Pourquoi c’est important ? Le cannabis marocain, et plus particulièrement la Beldia, est reconnu pour sa qualité exceptionnelle. Cette exportation légale ouvre la voie à une transformation économique majeure pour les régions productrices, notamment dans le Rif, où des milliers de familles dépendent de cette culture.
Avec une demande mondiale croissante pour le cannabis médical, le Maroc espère attirer des investissements étrangers, créer des emplois et générer des revenus significatifs pour l’État. Cependant, ce développement soulève aussi des défis : comment garantir que les profits bénéficient aux petits agriculteurs et non uniquement aux grandes entreprises ?
De plus, la transition vers une filière légale nécessite un accompagnement des cultivateurs traditionnels, qui opèrent encore majoritairement dans l’illégalité.
Sur les réseaux sociaux, l’annonce a fait sensation. "Enfin une valorisation de notre patrimoine agricole !", s’enthousiasme un internaute. D’autres, plus sceptiques, s’interrogent sur les retombées réelles pour les petits producteurs.
Du côté des autorités, l’ANRAC se félicite de cette première exportation et promet un suivi rigoureux pour garantir la traçabilité et la qualité des produits. Les experts économiques, eux, saluent une initiative stratégique mais insistent sur la nécessité de développer un cadre équitable et durable.
Avec cette première exportation légale de cannabis Beldia, le Maroc entre dans une nouvelle phase de son histoire économique. La question est désormais de savoir si cette industrie émergente pourra réellement bénéficier aux communautés locales tout en positionnant le Royaume comme un leader mondial du cannabis médical.



