Prospection gazière : Chariot élargit son horizon… La licence Rissana
Le projet Anchois, situé dans la licence Lixus, s’impose comme un pilier d’avenir pour le développement énergétique du Maroc. Les trois forages déjà réalisés y ont confirmé la présence de gaz, consolidant la promesse économique de cet actif. Chariot prépare désormais un plan de développement redimensionné, pensé pour optimiser les ressources, réduire les besoins en capital et accélérer la marche vers une décision finale d’investissement. Cette dynamique place le projet sur une trajectoire de compétitivité accrue, au moment où le Maroc trace sa voie vers une diversification durable de ses approvisionnements énergétiques.
À cette base solide s’ajoute un horizon encore plus large. La zone Anguille, estimée à près de 500 milliards de pieds cubes récupérables, offre un potentiel supplémentaire remarquable. Son emplacement, sur le tracé prévu du futur gazoduc, ouvre la possibilité d’une intégration harmonieuse avec Anchois ou même d’un développement initial à moindre coût, renforçant la flexibilité et l’agilité du portefeuille de Chariot.
La licence Rissana vient élargir encore davantage la perspective. Selon les estimations, elle recèle des ressources de plusieurs trillions de pieds cubes de gaz ou de millions de barils de pétrole. Ce potentiel exceptionnel arrive à un moment où les grandes compagnies énergétiques mondiales manifestent un intérêt croissant pour l’exploration frontalière au Maroc. Chariot entend capitaliser sur cet engouement pour attirer des partenaires stratégiques de premier plan et bâtir des projets énergétiques d’envergure internationale.
Sur le périmètre onshore de Loukos, plus modeste mais prometteur, les analyses récentes révèlent un potentiel supérieur à 100 milliards de pieds cubes. Une campagne multi-puits est en préparation, avec l’ambition de s’associer à des partenaires industriels afin de partager l’expérience, mutualiser les risques et accélérer la mise en œuvre.
Ce portefeuille marocain se distingue par sa diversité et sa complémentarité : d’un projet avancé prêt à entrer en développement, jusqu’à des perspectives géantes qui ouvrent la voie à une transformation structurelle du paysage énergétique. Pour Chariot, chaque étape franchie constitue un levier supplémentaire pour renforcer l’attractivité du Maroc, s’appuyant sur un cadre fiscal avantageux et des infrastructures en pleine expansion.
L’engagement de Chariot ne se limite pas au gaz. L’entreprise avance également sur la voie de l’hydrogène vert, en collaboration avec Oort Energy et l’Université Mohammed VI Polytechnique. Un électrolyseur pilote sera prochainement installé à Jorf Lasfar, une étape concrète pour tester et préparer un passage à l’échelle dans ce domaine porteur d’avenir.
Avec une trésorerie solide de 5,6 millions de dollars au 30 juin, renforcée par une levée de fonds de 7,1 millions en juin, Chariot dispose des moyens nécessaires pour concrétiser ses ambitions. L’entreprise affirme sa volonté claire : faire du Maroc le cœur battant de sa stratégie et inscrire durablement ses projets dans une trajectoire de croissance, d’innovation et de prospérité énergétique.
À cette base solide s’ajoute un horizon encore plus large. La zone Anguille, estimée à près de 500 milliards de pieds cubes récupérables, offre un potentiel supplémentaire remarquable. Son emplacement, sur le tracé prévu du futur gazoduc, ouvre la possibilité d’une intégration harmonieuse avec Anchois ou même d’un développement initial à moindre coût, renforçant la flexibilité et l’agilité du portefeuille de Chariot.
La licence Rissana vient élargir encore davantage la perspective. Selon les estimations, elle recèle des ressources de plusieurs trillions de pieds cubes de gaz ou de millions de barils de pétrole. Ce potentiel exceptionnel arrive à un moment où les grandes compagnies énergétiques mondiales manifestent un intérêt croissant pour l’exploration frontalière au Maroc. Chariot entend capitaliser sur cet engouement pour attirer des partenaires stratégiques de premier plan et bâtir des projets énergétiques d’envergure internationale.
Sur le périmètre onshore de Loukos, plus modeste mais prometteur, les analyses récentes révèlent un potentiel supérieur à 100 milliards de pieds cubes. Une campagne multi-puits est en préparation, avec l’ambition de s’associer à des partenaires industriels afin de partager l’expérience, mutualiser les risques et accélérer la mise en œuvre.
Ce portefeuille marocain se distingue par sa diversité et sa complémentarité : d’un projet avancé prêt à entrer en développement, jusqu’à des perspectives géantes qui ouvrent la voie à une transformation structurelle du paysage énergétique. Pour Chariot, chaque étape franchie constitue un levier supplémentaire pour renforcer l’attractivité du Maroc, s’appuyant sur un cadre fiscal avantageux et des infrastructures en pleine expansion.
L’engagement de Chariot ne se limite pas au gaz. L’entreprise avance également sur la voie de l’hydrogène vert, en collaboration avec Oort Energy et l’Université Mohammed VI Polytechnique. Un électrolyseur pilote sera prochainement installé à Jorf Lasfar, une étape concrète pour tester et préparer un passage à l’échelle dans ce domaine porteur d’avenir.
Avec une trésorerie solide de 5,6 millions de dollars au 30 juin, renforcée par une levée de fonds de 7,1 millions en juin, Chariot dispose des moyens nécessaires pour concrétiser ses ambitions. L’entreprise affirme sa volonté claire : faire du Maroc le cœur battant de sa stratégie et inscrire durablement ses projets dans une trajectoire de croissance, d’innovation et de prospérité énergétique.