L'émission Tilt animée par Mamoune Acharki sur LODJ Média
La politique marocaine semble entrer dans une nouvelle ère avec l’initiative lancée par le Parti de l’Istiqlal, qui met un accent particulier sur l'engagement des jeunes dans la politique du pays. À travers la Charte de la Jeunesse, le parti vise à créer un véritable contrat social avec la jeune génération afin d'intégrer ses préoccupations et ses attentes dans l'élaboration des politiques publiques.
Lancée le 11 janvier 2025, cette initiative a pris la forme d’une vaste consultation nationale auprès de plus de 6 000 jeunes, répartis sur tout le territoire marocain. L’objectif était d'écouter directement leurs voix et de cerner leurs préoccupations majeures, telles que la santé, l’éducation, et la lutte contre la corruption. Ce projet incarne la volonté du parti de rapprocher la politique des jeunes et de créer une plateforme de dialogue qui réponde réellement à leurs attentes.
Les résultats de cette consultation révèlent un certain désintérêt pour les questions liées à l'emploi, ce qui semble surprenant dans un pays où le chômage des jeunes reste élevé. En revanche, les jeunes montrent un grand intérêt pour la santé mentale, l’éducation et la lutte contre la corruption. Cette dernière, notamment, a été jugée comme un frein majeur à l'épanouissement et à la confiance envers les institutions politiques et publiques.
Les jeunes de différentes régions du Maroc expriment des préoccupations variées, en fonction de leur situation géographique et de leur cadre de vie. Par exemple, les jeunes des zones rurales mettent l’accent sur des problématiques d’infrastructure et de services de base, tels que les transports.
L’initiative repose sur une méthodologie scientifique de consultation, permettant d’assurer une représentation diversifiée et exhaustive des voix de la jeunesse marocaine. Ce processus garantit que toutes les régions et tous les groupes sociaux, en particulier les jeunes issus des zones rurales, puissent participer à la construction d’un avenir commun. L’un des axes importants a été la mise en place d’ateliers et de discussions dirigées par des jeunes, permettant de renforcer leur rôle actif dans la politique.
Le constat est néanmoins clair : un grand nombre de jeunes expriment leur désillusion vis-à-vis du système politique actuel. Beaucoup dénoncent l'inefficacité des promesses électorales et la faiblesse de l’engagement politique à long terme. Pour redonner confiance et légitimité aux institutions, le Parti de l’Istiqlal propose des solutions concrètes, telles que la mise en place de mécanismes pour un suivi efficace des promesses tenues, la transparence dans la gestion des ressources publiques, et une plus grande implication des jeunes dans les processus décisionnels.
Le changement législatif récent, qui permet aux jeunes de moins de 35 ans de se présenter aux élections, est perçu comme un levier important pour augmenter la représentation des jeunes au sein des institutions politiques. Cette évolution, combinée à une mobilisation croissante au sein des partis politiques, pourrait bien ouvrir la voie à un renouvellement significatif des têtes pensantes du pays.
Dans le cadre des consultations, des préoccupations émergent également autour de la santé mentale, une problématique de plus en plus présente chez les jeunes, en particulier en milieu scolaire et universitaire. Le Parti de l’Istiqlal s’engage à répondre à ces préoccupations, notamment en renforçant les services de santé mentale dans les institutions éducatives et en créant des espaces de dialogue ouverts.
Cette initiative du Parti de l'Istiqlal est une étape clé dans la création d’une politique réellement inclusive, qui met la jeunesse au cœur du développement et des réformes sociales. L’objectif est clair : il ne s'agit pas simplement de consulter la jeunesse, mais bien de l'intégrer activement à la définition des politiques qui la concernent. Le contrat social proposé devrait permettre de mettre en place une gouvernance plus transparente, participative et répondant aux besoins réels de la jeunesse marocaine.
Lancée le 11 janvier 2025, cette initiative a pris la forme d’une vaste consultation nationale auprès de plus de 6 000 jeunes, répartis sur tout le territoire marocain. L’objectif était d'écouter directement leurs voix et de cerner leurs préoccupations majeures, telles que la santé, l’éducation, et la lutte contre la corruption. Ce projet incarne la volonté du parti de rapprocher la politique des jeunes et de créer une plateforme de dialogue qui réponde réellement à leurs attentes.
Les résultats de cette consultation révèlent un certain désintérêt pour les questions liées à l'emploi, ce qui semble surprenant dans un pays où le chômage des jeunes reste élevé. En revanche, les jeunes montrent un grand intérêt pour la santé mentale, l’éducation et la lutte contre la corruption. Cette dernière, notamment, a été jugée comme un frein majeur à l'épanouissement et à la confiance envers les institutions politiques et publiques.
Les jeunes de différentes régions du Maroc expriment des préoccupations variées, en fonction de leur situation géographique et de leur cadre de vie. Par exemple, les jeunes des zones rurales mettent l’accent sur des problématiques d’infrastructure et de services de base, tels que les transports.
L’initiative repose sur une méthodologie scientifique de consultation, permettant d’assurer une représentation diversifiée et exhaustive des voix de la jeunesse marocaine. Ce processus garantit que toutes les régions et tous les groupes sociaux, en particulier les jeunes issus des zones rurales, puissent participer à la construction d’un avenir commun. L’un des axes importants a été la mise en place d’ateliers et de discussions dirigées par des jeunes, permettant de renforcer leur rôle actif dans la politique.
Le constat est néanmoins clair : un grand nombre de jeunes expriment leur désillusion vis-à-vis du système politique actuel. Beaucoup dénoncent l'inefficacité des promesses électorales et la faiblesse de l’engagement politique à long terme. Pour redonner confiance et légitimité aux institutions, le Parti de l’Istiqlal propose des solutions concrètes, telles que la mise en place de mécanismes pour un suivi efficace des promesses tenues, la transparence dans la gestion des ressources publiques, et une plus grande implication des jeunes dans les processus décisionnels.
Le changement législatif récent, qui permet aux jeunes de moins de 35 ans de se présenter aux élections, est perçu comme un levier important pour augmenter la représentation des jeunes au sein des institutions politiques. Cette évolution, combinée à une mobilisation croissante au sein des partis politiques, pourrait bien ouvrir la voie à un renouvellement significatif des têtes pensantes du pays.
Dans le cadre des consultations, des préoccupations émergent également autour de la santé mentale, une problématique de plus en plus présente chez les jeunes, en particulier en milieu scolaire et universitaire. Le Parti de l’Istiqlal s’engage à répondre à ces préoccupations, notamment en renforçant les services de santé mentale dans les institutions éducatives et en créant des espaces de dialogue ouverts.
Cette initiative du Parti de l'Istiqlal est une étape clé dans la création d’une politique réellement inclusive, qui met la jeunesse au cœur du développement et des réformes sociales. L’objectif est clair : il ne s'agit pas simplement de consulter la jeunesse, mais bien de l'intégrer activement à la définition des politiques qui la concernent. Le contrat social proposé devrait permettre de mettre en place une gouvernance plus transparente, participative et répondant aux besoins réels de la jeunesse marocaine.