Symptômes d’un choc national
Tout aurait commencé dans les salons d’Alger, où les téléspectateurs, sûrs de voir “leurs voisins” tomber en demi-finale, ont vu défiler à la télévision les images de Rabat en liesse : drapeaux, bus panoramique, feux d’artifice, youyous... et un mot qu’ils n’ont pas supporté : “Champion du monde.”
Résultat : selon notre “Institut fictif des émotions collectives maghrébines”, les taux de tension artérielle auraient grimpé de 14 à 18 volts patriotiques en quelques minutes. Les pharmacies de Bab El Oued auraient même signalé une pénurie nationale de calmants et de camomille importée.
Le ministère de la Santé algérien sur le qui-vive
Face à l’urgence, un comité spécial aurait été réuni à Alger : “Nous devons protéger la santé morale de la nation contre cette onde de choc émotionnelle venue de Rabat”, aurait déclaré un responsable, avant de s’évanouir devant la rediffusion du deuxième but marocain.
Des mesures d’urgence sont déjà envisagées :
Interdiction temporaire des mots “Maroc”, “Coupe”, et “Monde” dans les médias publics.
Mise en quarantaine de toutes les images de jeunes footballeurs souriants.
Et diffusion en boucle de “One, Two, Three Viva l’Algérie” pour tenter de stabiliser le moral collectif.
Témoignages sur le terrain
Un habitant de Tizi Ouzou confie, entre deux bouffées de menthe poivrée :
Un autre, à Oran, avoue avoir tenté une thérapie alternative :
À Rabat, l’ambiance est… zen
Pendant ce temps, les Lionceaux de l’Atlas savourent paisiblement leur triomphe, sans rancune. On dit même que certains supporters marocains auraient envoyé des boîtes de tisanes relaxantes “Made in Morocco” à leurs “frères d’en face”, accompagnées d’un petit mot : “Buvez chaud, ça aide à digérer la victoire.”
Quand le football devient médecine
Le plus ironique, c’est que selon plusieurs psychologues marocains, la joie peut aussi être contagieuse. Ils proposent donc que l’OMS déclare le football marocain “patrimoine thérapeutique de l’humanité” : un vaccin naturel contre la morosité.
Mais chut… ne le dites surtout pas à Alger. Il paraît qu’ils ont déjà du mal à supporter la deuxième étoile cousue sur le maillot des U20.
Alors, entre tension artérielle et tension diplomatique, le foot aura au moins prouvé une chose : au Maghreb, la santé émotionnelle est une affaire d’État. Et si l’OMS devait vraiment intervenir, elle n’aurait qu’un remède à prescrire :
Résultat : selon notre “Institut fictif des émotions collectives maghrébines”, les taux de tension artérielle auraient grimpé de 14 à 18 volts patriotiques en quelques minutes. Les pharmacies de Bab El Oued auraient même signalé une pénurie nationale de calmants et de camomille importée.
Le ministère de la Santé algérien sur le qui-vive
Face à l’urgence, un comité spécial aurait été réuni à Alger : “Nous devons protéger la santé morale de la nation contre cette onde de choc émotionnelle venue de Rabat”, aurait déclaré un responsable, avant de s’évanouir devant la rediffusion du deuxième but marocain.
Des mesures d’urgence sont déjà envisagées :
Interdiction temporaire des mots “Maroc”, “Coupe”, et “Monde” dans les médias publics.
Mise en quarantaine de toutes les images de jeunes footballeurs souriants.
Et diffusion en boucle de “One, Two, Three Viva l’Algérie” pour tenter de stabiliser le moral collectif.
Témoignages sur le terrain
Un habitant de Tizi Ouzou confie, entre deux bouffées de menthe poivrée :
“J’ai voulu féliciter les Marocains sur Facebook, mais ma tension est montée à 19.9. J’ai dû me déconnecter avant le coma patriotique.”
Un autre, à Oran, avoue avoir tenté une thérapie alternative :
“Je regarde des vidéos de l’époque où on battait l’Allemagne, mais même là, j’entends dans ma tête ‘2-0 contre l’Argentine’.”
À Rabat, l’ambiance est… zen
Pendant ce temps, les Lionceaux de l’Atlas savourent paisiblement leur triomphe, sans rancune. On dit même que certains supporters marocains auraient envoyé des boîtes de tisanes relaxantes “Made in Morocco” à leurs “frères d’en face”, accompagnées d’un petit mot : “Buvez chaud, ça aide à digérer la victoire.”
Quand le football devient médecine
Le plus ironique, c’est que selon plusieurs psychologues marocains, la joie peut aussi être contagieuse. Ils proposent donc que l’OMS déclare le football marocain “patrimoine thérapeutique de l’humanité” : un vaccin naturel contre la morosité.
Mais chut… ne le dites surtout pas à Alger. Il paraît qu’ils ont déjà du mal à supporter la deuxième étoile cousue sur le maillot des U20.
Alors, entre tension artérielle et tension diplomatique, le foot aura au moins prouvé une chose : au Maghreb, la santé émotionnelle est une affaire d’État. Et si l’OMS devait vraiment intervenir, elle n’aurait qu’un remède à prescrire :
“Regarder le match en replay… mais avec un coussin et beaucoup d’humour.”