Le monde de la musique marocaine est en ébullition ! Hmida El Bahri, figure emblématique de la scène populaire, accuse la chanteuse Ibtissam Tiskat de s’être appropriée, sans autorisation, une de ses chansons. Entre accusations, silence radio et menaces de procès, le clash s’annonce électrique.
Une histoire qui remonte à 1998
Hmida El Bahri n’est pas un novice dans le game. Avec plus de 50 ans de carrière et des tubes qui ont marqué la scène populaire marocaine, il est l’un des piliers de la musique traditionnelle. Mais aujourd’hui, ce n’est pas pour ses performances qu’il fait la une, mais pour une affaire de plagiat qui secoue le milieu artistique.
Tout commence avec le dernier titre d’Ibtissam Tiskat, "Salina", qui cartonne sur les plateformes et enflamme TikTok. Problème ? Selon El Bahri, cette chanson contient des extraits de sa propre œuvre intitulée "Daba Daba Tendam Alia", enregistrée en 1998 auprès du Bureau Marocain des Droits d’Auteur (BMDA).
Une histoire qui remonte à 1998
Hmida El Bahri n’est pas un novice dans le game. Avec plus de 50 ans de carrière et des tubes qui ont marqué la scène populaire marocaine, il est l’un des piliers de la musique traditionnelle. Mais aujourd’hui, ce n’est pas pour ses performances qu’il fait la une, mais pour une affaire de plagiat qui secoue le milieu artistique.
Tout commence avec le dernier titre d’Ibtissam Tiskat, "Salina", qui cartonne sur les plateformes et enflamme TikTok. Problème ? Selon El Bahri, cette chanson contient des extraits de sa propre œuvre intitulée "Daba Daba Tendam Alia", enregistrée en 1998 auprès du Bureau Marocain des Droits d’Auteur (BMDA).
Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, El Bahri déclare : "Non seulement ma chanson a été reprise sans mon autorisation, mais elle a aussi été attribuée à Abdelaziz Stati. C’est un double affront à mes droits et à ma carrière."
Plagiat ou inspiration ? La polémique enfle
Pour Hamida El Bahri, il ne s’agit pas d’un simple malentendu. Il affirme détenir toutes les preuves nécessaires, y compris une cassette originale de 1998, pour prouver que la mélodie et les paroles de "Salina" sont directement inspirées de son travail.
Ce n’est pas la première fois qu’il accuse un artiste de s’approprier ses œuvres. Abdelaziz Stati, icône de la musique populaire, avait déjà été pointé du doigt pour un cas similaire. Mais à l’époque, les deux artistes avaient réglé l’affaire à l’amiable. Cette fois, El Bahri semble déterminé à aller jusqu’au bout. "La propriété intellectuelle, c’est une ligne rouge. Je ne peux pas laisser passer ça", déclare-t-il.
De son côté, Ibtissam Tiskat reste silencieuse. Ni elle ni son équipe n’ont répondu aux accusations, laissant les fans et les médias dans l’expectative. Quant à Abdelaziz Stati, qui est également impliqué dans cette affaire, il n’a pas encore pris la parole.
Ce n’est pas la première fois qu’il accuse un artiste de s’approprier ses œuvres. Abdelaziz Stati, icône de la musique populaire, avait déjà été pointé du doigt pour un cas similaire. Mais à l’époque, les deux artistes avaient réglé l’affaire à l’amiable. Cette fois, El Bahri semble déterminé à aller jusqu’au bout. "La propriété intellectuelle, c’est une ligne rouge. Je ne peux pas laisser passer ça", déclare-t-il.
De son côté, Ibtissam Tiskat reste silencieuse. Ni elle ni son équipe n’ont répondu aux accusations, laissant les fans et les médias dans l’expectative. Quant à Abdelaziz Stati, qui est également impliqué dans cette affaire, il n’a pas encore pris la parole.
Les fans divisés, les réseaux en feu
Sur TikTok et Instagram, le débat fait rage. Certains soutiennent Hmida El Bahri, dénonçant un manque de respect envers les pionniers de la musique marocaine. "C’est triste de voir des artistes légendaires comme El Bahri devoir se battre pour leurs droits," commente un internaute.
D’autres, en revanche, défendent Ibtissam Tiskat, estimant que les accusations sont exagérées. "La musique est faite pour être partagée et réinventée. Peut-être qu’il s’agit juste d’une inspiration," écrit un fan de la chanteuse.
D’autres, en revanche, défendent Ibtissam Tiskat, estimant que les accusations sont exagérées. "La musique est faite pour être partagée et réinventée. Peut-être qu’il s’agit juste d’une inspiration," écrit un fan de la chanteuse.


