Selon lui, ce projet de co-organisation avec l’Espagne et le Portugal ne constitue pas un point de départ, mais bien une étape naturelle dans un processus de transformation économique et sociale déjà engagé. Une dynamique structurée autour d’une vision de long terme, alliant progrès économique et inclusion sociale.
Fouzi Lekjaa a souligné que le Maroc n’a pas attendu l’échéance mondiale pour initier des projets structurants, tels que le train à grande vitesse ou la modernisation des infrastructures aéroportuaires. Ces réalisations, a-t-il insisté, illustrent une trajectoire cohérente de développement, indépendante des événements sportifs, mais que ceux-ci permettent de renforcer et de mettre en lumière.
«Avec ou sans la Coupe du Monde, le Royaume du Maroc poursuit sa marche avec une vision claire et résolument tournée vers l’avenir», a-t-il affirmé en conclusion.