De nombreux porteurs de projets, venus de toutes les régions du pays, se sont réunis à Dakhla pour travailler d’arrache-pied pendant 48 heures.
Dans les salles de la Faculté des Sciences et Techniques, ils ont affiné leurs idées, renforcé leurs modèles économiques, évalué leur valeur sociale et productive, et appris à formuler clairement l’impact qu’ils souhaitent créer.
Parmi de nombreux projets présentés, 11 ont été retenus lors d’une première phase de sélection. Ils ont été évalués par un jury composé d’experts nationaux et internationaux, issus de l’entrepreneuriat, de l’industrie, de la recherche et de l’innovation publique et privée.
Ces 11 projets ont ensuite été pitchés devant le jury, qui a procédé à une analyse détaillée afin de désigner les trois lauréats les plus pertinents en termes d’impact réel, de faisabilité et d’adéquation aux besoins du pays.
Les projets ont abordé des domaines directement liés aux priorités du Maroc : santé, éducation, valorisation du littoral et de l’agriculture, artisanat, services numériques, industries émergentes. L’IA n’a pas été pensée comme une nouveauté à adopter, mais comme un outil de transformation capable de renforcer l’autonomie, l’utilité et la performance.
Parmi de nombreux projets présentés, 11 ont été retenus lors d’une première phase de sélection. Ils ont été évalués par un jury composé d’experts nationaux et internationaux, issus de l’entrepreneuriat, de l’industrie, de la recherche et de l’innovation publique et privée.
Ces 11 projets ont ensuite été pitchés devant le jury, qui a procédé à une analyse détaillée afin de désigner les trois lauréats les plus pertinents en termes d’impact réel, de faisabilité et d’adéquation aux besoins du pays.
Les projets ont abordé des domaines directement liés aux priorités du Maroc : santé, éducation, valorisation du littoral et de l’agriculture, artisanat, services numériques, industries émergentes. L’IA n’a pas été pensée comme une nouveauté à adopter, mais comme un outil de transformation capable de renforcer l’autonomie, l’utilité et la performance.
Organiser cet événement à Dakhla ne signifie pas délocaliser l’innovation.
Cela signifie la reconfigurer. Dakhla a joué le rôle de catalyseur, d’accélérateur, de plateforme de rencontre et d’espace d’élan national. L’innovation ne part pas de Dakhla pour y rester ; elle part de Dakhla pour circuler, irriguer et se diffuser. Elle devient mouvement national.
Ce qui s’est construit les 4 et 5 novembre à Dakhla n’est pas un événement isolé. C’est un signal clair : le Maroc est en train de bâtir sa propre trajectoire de l’IA, souveraine, inclusive, créative, enracinée dans son histoire et tournée vers son avenir.
La Marche Verte a affirmé l’unité du territoire. AIATSI affirme aujourd’hui l’unité de l’intention et de la vision. Le Maroc ne se contente plus d’adopter l’IA. Il la façonne.
Par Dr Az-Eddine Bennani
Ce qui s’est construit les 4 et 5 novembre à Dakhla n’est pas un événement isolé. C’est un signal clair : le Maroc est en train de bâtir sa propre trajectoire de l’IA, souveraine, inclusive, créative, enracinée dans son histoire et tournée vers son avenir.
La Marche Verte a affirmé l’unité du territoire. AIATSI affirme aujourd’hui l’unité de l’intention et de la vision. Le Maroc ne se contente plus d’adopter l’IA. Il la façonne.
Par Dr Az-Eddine Bennani