Organisé du 8 au 17 août par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, l’événement rend hommage à Rabat, capitale africaine de la culture, et met à l’honneur la richesse des voix et des talents du Royaume.
Badr Sabry ouvre le bal, micro en main et sourire éclatant, sa voix chaude embrase la foule comme une vieille mélodie gravée en mémoire. Refrains entonnés à pleins poumons, clins d’œil aux classiques marocains, il fait vibrer la scène en un immense chœur populaire. Les sourires éclatent, les corps pulsant au rythme effréné, et l’énergie collective s’empare de toute la Corniche.
Puis Saïd Mosker fait son retour à Rabat pour renouer avec son public, souffle puissant déchaîné. Sa voix traverse la foule, chaque note déclenche une clameur grandissante. Les mains s’élèvent, les écrans s’illuminent dans la nuit, et le Bouregreg gronde en un chœur indomptable.
En apothéose, Zina Daoudia, reine du chaâbi, s’avança sous les projecteurs. Née à Casablanca, elle portait dans sa voix la force des traditions et l’audace des métissages. Elle enchaînait ses tubes, revisitait des classiques, s’aventurait dans le rai avec l’assurance de celle qui connaît son public. Les plus jeunes dansaient, les plus anciens chantaient ; tous vibraient au même rythme.
Et ce n’était qu’un début. Jusqu’au 17 août, le Rab’Africa Summer Festival déroule un programme de rêve : Nass El Ghiwane, Douzi, Douaa Lahyaoui, Hatim Ammor, Ibtissam Tiskat, Jaylann, Hamid El Kasri, Stormy, Lartiste, Hajib... sans oublier ces jeunes artistes qui viendront écrire, à leur tour, les prochaines pages de cette grande fresque musicale marocaine.
Badr Sabry ouvre le bal, micro en main et sourire éclatant, sa voix chaude embrase la foule comme une vieille mélodie gravée en mémoire. Refrains entonnés à pleins poumons, clins d’œil aux classiques marocains, il fait vibrer la scène en un immense chœur populaire. Les sourires éclatent, les corps pulsant au rythme effréné, et l’énergie collective s’empare de toute la Corniche.
Puis Saïd Mosker fait son retour à Rabat pour renouer avec son public, souffle puissant déchaîné. Sa voix traverse la foule, chaque note déclenche une clameur grandissante. Les mains s’élèvent, les écrans s’illuminent dans la nuit, et le Bouregreg gronde en un chœur indomptable.
En apothéose, Zina Daoudia, reine du chaâbi, s’avança sous les projecteurs. Née à Casablanca, elle portait dans sa voix la force des traditions et l’audace des métissages. Elle enchaînait ses tubes, revisitait des classiques, s’aventurait dans le rai avec l’assurance de celle qui connaît son public. Les plus jeunes dansaient, les plus anciens chantaient ; tous vibraient au même rythme.
Et ce n’était qu’un début. Jusqu’au 17 août, le Rab’Africa Summer Festival déroule un programme de rêve : Nass El Ghiwane, Douzi, Douaa Lahyaoui, Hatim Ammor, Ibtissam Tiskat, Jaylann, Hamid El Kasri, Stormy, Lartiste, Hajib... sans oublier ces jeunes artistes qui viendront écrire, à leur tour, les prochaines pages de cette grande fresque musicale marocaine.