Le Maroc, terre de chaleur humaine, cache parfois dans ses silences des douleurs enfouies. Violences conjugales, échecs scolaires, pauvreté, harcèlement… autant de blessures qui marquent des vies mais n’en déterminent pas toujours l’issue.
À Meknès, Hind, 28 ans, a survécu à une enfance battue. Aujourd’hui, elle anime un podcast d'entraide entre femmes. À Béni Mellal, un ancien sans-abri anime des ateliers de théâtre pour jeunes décrocheurs. À Tanger, des psychiatres bénévoles reçoivent gratuitement dans des cafés sociaux.
Ce que ces histoires ont en commun ? Un concept encore méconnu au Maroc : la « croissance post-traumatique ». Non seulement guérir, mais devenir plus fort, plus lucide, plus solidaire.
Longtemps, la société marocaine a fui la blessure psychique, la reléguant au domaine du tabou. Aujourd’hui, des passerelles se créent entre traditions (zikr, zawiyas, guérisseurs) et psychothérapie moderne. Un dialogue nouveau émerge, entre douleur intime et transformation collective.
À Meknès, Hind, 28 ans, a survécu à une enfance battue. Aujourd’hui, elle anime un podcast d'entraide entre femmes. À Béni Mellal, un ancien sans-abri anime des ateliers de théâtre pour jeunes décrocheurs. À Tanger, des psychiatres bénévoles reçoivent gratuitement dans des cafés sociaux.
Ce que ces histoires ont en commun ? Un concept encore méconnu au Maroc : la « croissance post-traumatique ». Non seulement guérir, mais devenir plus fort, plus lucide, plus solidaire.
Longtemps, la société marocaine a fui la blessure psychique, la reléguant au domaine du tabou. Aujourd’hui, des passerelles se créent entre traditions (zikr, zawiyas, guérisseurs) et psychothérapie moderne. Un dialogue nouveau émerge, entre douleur intime et transformation collective.
Ces lieux qui transforment la douleur au Maroc
L’association Injaz El Hayat à Casablanca accueille femmes victimes de violences pour des formations et thérapies.
À Tétouan, le projet Al Baqa combine arts plastiques et résilience émotionnelle.
Des cafés thérapeutiques émergent à Agadir, mêlant discussions libres et présence d’un psy.
À Tétouan, le projet Al Baqa combine arts plastiques et résilience émotionnelle.
Des cafés thérapeutiques émergent à Agadir, mêlant discussions libres et présence d’un psy.