Né à Rabat le 31 mai 1934, Lamrini a grandi dans un environnement profondément marqué par la culture et le savoir. Après avoir mémorisé le Coran dès son jeune âge, il poursuit ses études au lycée Moulay Youssef, avant d’entamer un brillant parcours universitaire.
Diplômé de l’Institut des hautes études marocaines en 1960, il obtient ensuite une licence en lettres à Rabat (1962), puis un diplôme d’études supérieures en 1966 à l’Université de Strasbourg. Il y soutiendra aussi sa première thèse de doctorat (1973), avant de décrocher un doctorat d’État à l’Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès en 1989.
Son parcours professionnel débute dans l’enseignement, comme professeur d’arabe et d’éducation civique. Il sera ensuite nommé chef de cabinet adjoint au ministère de la Formation des cadres techniques, puis intégré à la Direction du protocole et de la chancellerie relevant du ministère de la Maison royale, du Protocole et de la Chancellerie dès 1965.
Abdelhak Lamrini, gardien de la mémoire marocaine
Il gravit rapidement les échelons: conseiller au ministère de la Maison royale, directeur du protocole et de la chancellerie en 1998, et enfin nommé porte-parole du Palais royal en 2012, après le départ de Hassan Aourid. Il demeurera dans ce poste jusqu’à son décès.
Outre ses fonctions officielles, Abdelhak El Merini a profondément marqué le paysage intellectuel marocain. Historien du royaume, il est l’auteur d’ouvrages de référence : L’armée marocaine à travers l’Histoire (1968) ; « Inbiâat Oumma » (Renaissance d’une Nation) ; Regards sur la créativité arabe et la civilisation marocaine ; La poésie du Jihad dans la littérature marocaine ; Introduction à l’histoire du Maroc moderne (1996) ; Mohammed V : Études et Témoignages; Hassan II : L’homme et le roi et Figures féminines du Maroc.
Son œuvre, entre rigueur académique et souci de transmission, lui vaut le Prix du Maroc du Livre en 1968 et le Prix Abdellah Guennoun en 1997.
Diplômé de l’Institut des hautes études marocaines en 1960, il obtient ensuite une licence en lettres à Rabat (1962), puis un diplôme d’études supérieures en 1966 à l’Université de Strasbourg. Il y soutiendra aussi sa première thèse de doctorat (1973), avant de décrocher un doctorat d’État à l’Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès en 1989.
Son parcours professionnel débute dans l’enseignement, comme professeur d’arabe et d’éducation civique. Il sera ensuite nommé chef de cabinet adjoint au ministère de la Formation des cadres techniques, puis intégré à la Direction du protocole et de la chancellerie relevant du ministère de la Maison royale, du Protocole et de la Chancellerie dès 1965.
Abdelhak Lamrini, gardien de la mémoire marocaine
Il gravit rapidement les échelons: conseiller au ministère de la Maison royale, directeur du protocole et de la chancellerie en 1998, et enfin nommé porte-parole du Palais royal en 2012, après le départ de Hassan Aourid. Il demeurera dans ce poste jusqu’à son décès.
Outre ses fonctions officielles, Abdelhak El Merini a profondément marqué le paysage intellectuel marocain. Historien du royaume, il est l’auteur d’ouvrages de référence : L’armée marocaine à travers l’Histoire (1968) ; « Inbiâat Oumma » (Renaissance d’une Nation) ; Regards sur la créativité arabe et la civilisation marocaine ; La poésie du Jihad dans la littérature marocaine ; Introduction à l’histoire du Maroc moderne (1996) ; Mohammed V : Études et Témoignages; Hassan II : L’homme et le roi et Figures féminines du Maroc.
Son œuvre, entre rigueur académique et souci de transmission, lui vaut le Prix du Maroc du Livre en 1968 et le Prix Abdellah Guennoun en 1997.
