La TGR révèle que sur la base des recettes encaissées et des dépenses émises, l’exécution de la loi de finances fait ressortir :
- un solde ordinaire positif de 14,4 MMDH contre un solde ordinaire négatif de 1 MMDH un an auparavant ;
- un déficit du Trésor de 73,7 MMDH, compte tenu d’un solde positif de 31,1 MMDH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’Etat gérés de manière autonome (SEGMA), contre un déficit du Trésor de 76,3 MMDH à fin décembre 2022 compte tenu d’un solde positif de 20,8 MMDH dégagé par les CST et les SEGMA.
Aussi, précise-t-on, de même source, que cette situation est le résultat d’une hausse des recettes ordinaires de 10,6% provenant de l’augmentation des impôts directs de 5,4%, des droits de douane de 12,8%, des impôts indirects de 3,6%, des droits d’enregistrement et de timbre de 11,1% et des recettes non fiscales de 41,1% et d’une augmentation des dépenses globales de 10% résultant de la hausse des dépenses de biens et services de 8,2% due à l’accroissement des dépenses de personnel de 2,7% et des autres biens et services de 19,3%, de l’augmentation des charges en intérêts de la dette de 15,8%, des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux de 4,3% et des dépenses d’investissement de 24,2%, ainsi que de la baisse des émissions de dépenses au titre de la compensation de 13,3%.
- un solde ordinaire positif de 14,4 MMDH contre un solde ordinaire négatif de 1 MMDH un an auparavant ;
- un déficit du Trésor de 73,7 MMDH, compte tenu d’un solde positif de 31,1 MMDH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’Etat gérés de manière autonome (SEGMA), contre un déficit du Trésor de 76,3 MMDH à fin décembre 2022 compte tenu d’un solde positif de 20,8 MMDH dégagé par les CST et les SEGMA.
Aussi, précise-t-on, de même source, que cette situation est le résultat d’une hausse des recettes ordinaires de 10,6% provenant de l’augmentation des impôts directs de 5,4%, des droits de douane de 12,8%, des impôts indirects de 3,6%, des droits d’enregistrement et de timbre de 11,1% et des recettes non fiscales de 41,1% et d’une augmentation des dépenses globales de 10% résultant de la hausse des dépenses de biens et services de 8,2% due à l’accroissement des dépenses de personnel de 2,7% et des autres biens et services de 19,3%, de l’augmentation des charges en intérêts de la dette de 15,8%, des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux de 4,3% et des dépenses d’investissement de 24,2%, ainsi que de la baisse des émissions de dépenses au titre de la compensation de 13,3%.