La ville de Sefrou a renoué, cette année encore, avec une tradition vieille de plus d’un siècle. Pour sa 101e édition, le Festival des Cerises a rassemblé habitants et visiteurs venus célébrer non seulement le fruit emblématique de la région, mais aussi la richesse du patrimoine culturel marocain.
Organisé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, cet événement a duré quatre jours, ponctués de festivités populaires, artistiques, culturelles et sportives. Au-delà de la cerise, c’est tout un savoir-vivre, une mémoire collective et un mode de vie traditionnel qui ont été mis à l’honneur à travers ce rendez-vous patrimonial reconnu par l’UNESCO depuis 2012 comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Organisé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, cet événement a duré quatre jours, ponctués de festivités populaires, artistiques, culturelles et sportives. Au-delà de la cerise, c’est tout un savoir-vivre, une mémoire collective et un mode de vie traditionnel qui ont été mis à l’honneur à travers ce rendez-vous patrimonial reconnu par l’UNESCO depuis 2012 comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Un message fort pour la culture marocaine
Le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaïd, a affirmé, dans un message lu en son nom par Mustafa Masoudi, secrétaire général du ministère, que le Festival des Cerises reflète la profondeur historique du Maroc, ainsi que la diversité de son patrimoine culturel aux niveaux régional et international.
L’engagement du ministère dans l’organisation de cet événement découle d’une conviction claire : le patrimoine immatériel est un levier essentiel pour préserver et valoriser l’identité marocaine. Le ministre a souligné que l’inscription du festival sur la liste de l’UNESCO constitue une reconnaissance forte de sa valeur, en raison des savoir-faire, des expressions festives, de l’esprit de tolérance et de la coexistence des composantes de l’identité nationale qu’il incarne.
Préserver face aux menaces de spoliation
Mohamed Mehdi Bensaïd a également mis en garde contre les tentatives de spoliation du patrimoine marocain par certaines parties, soulignant l’importance d’intensifier les efforts pour protéger, documenter et enraciner ce patrimoine dans son environnement d’origine, notamment à travers une coopération étroite avec des institutions comme l’UNESCO.
Le ministre a par ailleurs rappelé le message royal adressé en 2022 à la 17e session du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tenue à Rabat, dans lequel le Roi avait annoncé la création d’un Centre national du patrimoine culturel immatériel. Une initiative inscrite dans la politique culturelle nationale, qui place la protection du patrimoine au cœur de ses priorités stratégiques.
Un carnaval de traditions et de couleurs
Le point culminant du festival a été le grand défilé de clôture, qui a mis en avant Miss Cerisette et ses dauphines, dans un carnaval rassemblant un large public local et national. Le cortège a présenté de magnifiques tableaux artistiques illustrant les traditions populaires de la ville de Sefrou et de ses environs.
Le programme de cette édition a également compris des prestations artistiques et culturelles offertes par des troupes locales issues des différentes communes de la province, ainsi que des activités parallèles : expositions de produits du terroir, d’artisanat, de l’économie sociale et solidaire, conférences, spectacles équestres (Tbourida), entre autres.
Un festival au service de l’identité
Depuis sa première édition en 1919, le Festival des Cerises de Sefrou ne cesse de témoigner de la richesse et de la diversité de la culture marocaine. Il constitue aujourd’hui un symbole vivant de la diversité culturelle du Royaume, et un exemple fort de coexistence sociale autour des traditions, des valeurs partagées et de la fierté du patrimoine national.
L’engagement du ministère dans l’organisation de cet événement découle d’une conviction claire : le patrimoine immatériel est un levier essentiel pour préserver et valoriser l’identité marocaine. Le ministre a souligné que l’inscription du festival sur la liste de l’UNESCO constitue une reconnaissance forte de sa valeur, en raison des savoir-faire, des expressions festives, de l’esprit de tolérance et de la coexistence des composantes de l’identité nationale qu’il incarne.
Préserver face aux menaces de spoliation
Mohamed Mehdi Bensaïd a également mis en garde contre les tentatives de spoliation du patrimoine marocain par certaines parties, soulignant l’importance d’intensifier les efforts pour protéger, documenter et enraciner ce patrimoine dans son environnement d’origine, notamment à travers une coopération étroite avec des institutions comme l’UNESCO.
Le ministre a par ailleurs rappelé le message royal adressé en 2022 à la 17e session du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tenue à Rabat, dans lequel le Roi avait annoncé la création d’un Centre national du patrimoine culturel immatériel. Une initiative inscrite dans la politique culturelle nationale, qui place la protection du patrimoine au cœur de ses priorités stratégiques.
Un carnaval de traditions et de couleurs
Le point culminant du festival a été le grand défilé de clôture, qui a mis en avant Miss Cerisette et ses dauphines, dans un carnaval rassemblant un large public local et national. Le cortège a présenté de magnifiques tableaux artistiques illustrant les traditions populaires de la ville de Sefrou et de ses environs.
Le programme de cette édition a également compris des prestations artistiques et culturelles offertes par des troupes locales issues des différentes communes de la province, ainsi que des activités parallèles : expositions de produits du terroir, d’artisanat, de l’économie sociale et solidaire, conférences, spectacles équestres (Tbourida), entre autres.
Un festival au service de l’identité
Depuis sa première édition en 1919, le Festival des Cerises de Sefrou ne cesse de témoigner de la richesse et de la diversité de la culture marocaine. Il constitue aujourd’hui un symbole vivant de la diversité culturelle du Royaume, et un exemple fort de coexistence sociale autour des traditions, des valeurs partagées et de la fierté du patrimoine national.


