Par Mohammed Yassir Mouline
C’est une sorte de comédie musicale politique : le décor, c’est Gaza, le texte, c’est l’hypocrisie, et la chorégraphie, c’est toujours le grand écart entre leur indignation sélective et leur silence gêné… des extrémistes capables de hurler jusqu’à se décrocher la mâchoire… sauf quand c’est le Maroc qui marque un but… Là, miracle médical : aphonie collective… Pas un mot, pas une syllabe, pas même un éternuement…
Ces champions de la « cause palestinienne » adorent Gaza… mais uniquement comme décor de meeting... Leur recette ? Un peu de larmes télévisées, beaucoup de slogans, et une pincée de haine contre la monarchie… Mais dès que Rabat agit concrètement, ils se transforment en poissons rouges : bouche ouverte, zéro son…
Prenez l’exemple du dernier exploit marocain : acheminer par voie terrestre « sans parachute, sans show médiatique, et sans hashtag sponsorisé » des tonnes d’aide humanitaire directement aux habitants de Gaza… Pas juste des biscuits secs pour la photo, mais un pont aérien, une logistique complexe… un passage terrestre pour livrer directement nourriture, médicaments, couvertures et tentes aux habitants de Gaza… Pas de show à la turque, pas de selfie à la qatari, juste de l’efficacité… et surtout… la volonté politique de passer par-dessus les murs, les blocus et les calculs cyniques…
Résultat ? Mission accomplie… Et devinez quoi ? Aucun autre pays, même parmi les grands donneurs de leçons, n’a réussi ça… Un geste que même les « amis officiels » d’Israël, occidentaux comme arabes, n’ont pas réussi à accomplir…
Silence radio chez les Frères musulmans et les extrémistes du Maroc… Silence. Black-out total… Pas un post, pas un tweet, pas un « Machaà Allah »… Même leurs sites web se sont soudain mis en mode « maintenance » patriotique... Pourtant, ce sont les mêmes qui, hier encore, applaudaient comme des supporters de foot dès qu’un navire « humanitaire » quittait un port turc pour finir arraisonné par la marine israélienne… On se souvient des selfies héroïques sur le pont, comme si l’arrivée en mer était déjà une victoire militaire…
Mais quand le Maroc, sous l’impulsion de SM le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al-Qods, réussit là où tous ont échoué… là, mystère ! Les révolutionnaires de salon se transforment en moines cartusiens... Leur silence est si pesant qu’on pourrait le mesurer en tonnes d’hypocrisie, livrées directement au service de leurs parrains idéologiques…
Si la Turquie ou le Qatar ou même l’Iran avaient fait la même chose, les extrémistes du Maroc en auraient fait un mois de fête religieuse… Mais quand c’est le Maroc, il faut cacher la réussite sous le tapis, ne surtout pas briser la ligne du parti, et éviter le pire crime à leurs yeux : reconnaître que la monarchie marocaine agit, non seulement plus vite, mais plus efficacement qu’eux…
Ces gens-là sont comme des horloges cassées… elles ne donnent l’heure que deux fois par jour… et encore, seulement si Ankara ou Doha ou Téhéran les remontent… ces gens-là ne défendent pas Gaza, ils défendent un business politique...
Et dans ce business, le Maroc efficace, c’est mauvais pour les ventes… Ils se prétendent la voix des opprimés ? Non… Ce sont juste des haut-parleurs branchés sur Ankara, Téhéran et Doha… avec un bouton « mute » réservé spécialement pour Rabat…
Ces champions de la « cause palestinienne » adorent Gaza… mais uniquement comme décor de meeting... Leur recette ? Un peu de larmes télévisées, beaucoup de slogans, et une pincée de haine contre la monarchie… Mais dès que Rabat agit concrètement, ils se transforment en poissons rouges : bouche ouverte, zéro son…
Prenez l’exemple du dernier exploit marocain : acheminer par voie terrestre « sans parachute, sans show médiatique, et sans hashtag sponsorisé » des tonnes d’aide humanitaire directement aux habitants de Gaza… Pas juste des biscuits secs pour la photo, mais un pont aérien, une logistique complexe… un passage terrestre pour livrer directement nourriture, médicaments, couvertures et tentes aux habitants de Gaza… Pas de show à la turque, pas de selfie à la qatari, juste de l’efficacité… et surtout… la volonté politique de passer par-dessus les murs, les blocus et les calculs cyniques…
Résultat ? Mission accomplie… Et devinez quoi ? Aucun autre pays, même parmi les grands donneurs de leçons, n’a réussi ça… Un geste que même les « amis officiels » d’Israël, occidentaux comme arabes, n’ont pas réussi à accomplir…
Silence radio chez les Frères musulmans et les extrémistes du Maroc… Silence. Black-out total… Pas un post, pas un tweet, pas un « Machaà Allah »… Même leurs sites web se sont soudain mis en mode « maintenance » patriotique... Pourtant, ce sont les mêmes qui, hier encore, applaudaient comme des supporters de foot dès qu’un navire « humanitaire » quittait un port turc pour finir arraisonné par la marine israélienne… On se souvient des selfies héroïques sur le pont, comme si l’arrivée en mer était déjà une victoire militaire…
Mais quand le Maroc, sous l’impulsion de SM le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al-Qods, réussit là où tous ont échoué… là, mystère ! Les révolutionnaires de salon se transforment en moines cartusiens... Leur silence est si pesant qu’on pourrait le mesurer en tonnes d’hypocrisie, livrées directement au service de leurs parrains idéologiques…
Si la Turquie ou le Qatar ou même l’Iran avaient fait la même chose, les extrémistes du Maroc en auraient fait un mois de fête religieuse… Mais quand c’est le Maroc, il faut cacher la réussite sous le tapis, ne surtout pas briser la ligne du parti, et éviter le pire crime à leurs yeux : reconnaître que la monarchie marocaine agit, non seulement plus vite, mais plus efficacement qu’eux…
Ces gens-là sont comme des horloges cassées… elles ne donnent l’heure que deux fois par jour… et encore, seulement si Ankara ou Doha ou Téhéran les remontent… ces gens-là ne défendent pas Gaza, ils défendent un business politique...
Et dans ce business, le Maroc efficace, c’est mauvais pour les ventes… Ils se prétendent la voix des opprimés ? Non… Ce sont juste des haut-parleurs branchés sur Ankara, Téhéran et Doha… avec un bouton « mute » réservé spécialement pour Rabat…