Les États-Unis accueillent pour la première fois la nouvelle version élargie de la Coupe du monde des clubs, et co-organiseront la Coupe du monde 2026 aux côtés du Canada et du Mexique. La finale opposera Chelsea au vainqueur de la demi-finale entre le Paris Saint-Germain et le Real Madrid, dans le même stade qui abritera également la finale du Mondial l’an prochain.

Trump, déjà présent au Super Bowl en février, dirige un groupe de travail qu’il a lui-même mis en place pour superviser les préparatifs des deux événements majeurs. Il multiplie ainsi les apparitions dans le monde du sport durant son second mandat.

Gianni Infantino, président de la FIFA, a salué le soutien reçu des autorités américaines :
 

« Nous avons bénéficié d’un appui considérable de la part du gouvernement et du président à travers le groupe de travail de la Maison Blanche pour la Coupe du monde des clubs et celle de 2026. »

Il a également justifié l’ouverture du bureau à New York :
 

« La FIFA est une organisation mondiale, et pour être mondiale, il faut aussi être locale. Être à New York est essentiel. »

Malgré les politiques migratoires controversées de Donald Trump, dont l’interdiction d’entrée pour 12 pays et une éventuelle extension à 36 autres, Infantino a assuré que les supporters du monde entier seraient les bienvenus aux États-Unis pour les événements à venir.