Coalition d'urgence
Douze pays parmi lesquels la France, Belgique, Danemark, France, Islande, Irlande, Japon, Norvège, Arabie saoudite, Slovénie, Espagne, Suisse, Royaume-Uni ont annoncé vendredi la création d'une coalition visant à soutenir financièrement l'Autorité palestinienne, à court d'argent, ses recettes fiscales étant retenues par Israël.
Des intentions en attendant des actes concrets !
Selon le premier ministre palestinien Mohammad Moustafa, les donateurs se sont engagés à verser au moins 170 millions de dollars.
La Coalition d'urgence pour la viabilité financière de l'Autorité palestinienne a été «créée en réponse à la crise financière urgente et sans précédent» à laquelle est confrontée l'Autorité palestinienne, a déclaré le ministère espagnol des Affaires étrangères dans un communiqué.
Elle vise à stabiliser les finances de l'organisme basé à Ramallah, à préserver sa capacité à gouverner, à fournir des services essentiels et à maintenir la sécurité, «autant d'éléments indispensables à la stabilité régionale et à la préservation de la solution à deux États», selon la même source.
Le communiqué mentionne les «contributions financières importantes» passées et les promesses de «soutien durable» de cette coalition.
Le bureau du premier ministre palestinien, Mohammad Moustafa, a déclaré que les donateurs s'étaient engagés à verser au moins 170 millions de dollars pour financer l'Autorité palestinienne. L'Arabie saoudite fournira 90 millions de dollars, a déclaré jeudi soir son ministre des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane, selon des médias d'État. Israël perçoit les recettes fiscales au nom de l'Autorité palestinienne en vertu du protocole de Paris de 1994.
Des intentions en attendant des actes concrets !
Selon le premier ministre palestinien Mohammad Moustafa, les donateurs se sont engagés à verser au moins 170 millions de dollars.
La Coalition d'urgence pour la viabilité financière de l'Autorité palestinienne a été «créée en réponse à la crise financière urgente et sans précédent» à laquelle est confrontée l'Autorité palestinienne, a déclaré le ministère espagnol des Affaires étrangères dans un communiqué.
Elle vise à stabiliser les finances de l'organisme basé à Ramallah, à préserver sa capacité à gouverner, à fournir des services essentiels et à maintenir la sécurité, «autant d'éléments indispensables à la stabilité régionale et à la préservation de la solution à deux États», selon la même source.
Le communiqué mentionne les «contributions financières importantes» passées et les promesses de «soutien durable» de cette coalition.
Le bureau du premier ministre palestinien, Mohammad Moustafa, a déclaré que les donateurs s'étaient engagés à verser au moins 170 millions de dollars pour financer l'Autorité palestinienne. L'Arabie saoudite fournira 90 millions de dollars, a déclaré jeudi soir son ministre des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane, selon des médias d'État. Israël perçoit les recettes fiscales au nom de l'Autorité palestinienne en vertu du protocole de Paris de 1994.
Ces pays ne disent pas comment ils vont octroyer ces dons à l'autorité palestinienne ou s'ils devront l'adresser à Tel-Aviv qui se chargera de les garder pour Israël comme elle le fait sans vergogne, et surtout sans foi ni loi , pour les aides humanitaires détournées par les israéliens !
Mais, à l'heure d'aujourd'hui, ces pays ne disent pas comment ils vont octroyer ces dons à l'autorité palestinienne ou s'ils devront l'adresser à Tel-Aviv qui se chargera de les garder pour Israël comme elle le fait sans vergogne, et surtout sans foi ni loi , pour les aides humanitaires détournées par les israéliens !
Un «étranglement économique» orchestré par Israël
Après le déclenchement de la guerre à Gaza le 7 octobre 2023, jour de l'attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien, Israël a retenu les recettes fiscales destinées à l'Autorité palestinienne, qui affirme que les services de base tels que la santé et l'éducation se sont détériorés et que la pauvreté a augmenté.
Les autorités israéliennes affirment qu'une partie de l'argent qu'elles retiennent est destinée à rembourser des dépenses telles que l'électricité qu'elles vendent aux Palestiniens.
Mais , le ministre israélien des Finances d'extrême droite, Bezalel Smotrich, qui a cessé tous les paiements à l'Autorité palestinienne il y a quatre mois, a déclaré qu'il continuerait à s'employer à ce que le gouvernement palestinien s'effondre par un «étranglement économique», afin d'empêcher la création d'un État palestinien.
Cette annonce intervient alors que les alliés traditionnels d'Israël, notamment la France et le Royaume-Uni, font partie d'une série de pays qui ont reconnu l'État palestinien lors de l'Assemblée générale des Nations unies qui s'est tenue cette semaine à New York .
Avec AFP