À Marrakech, on ne fait pas les choses à moitié, surtout quand il s’agit de tangia. Pour cette édition du Festival Populaire de la Musique et de la Gastronomie Marrakchie, la ville ocre a sorti les grands plats. Dans une ambiance mêlant effluves d’épices, chants traditionnels et ferveur populaire, un événement pas comme les autres a réuni habitants et visiteurs : la préparation de la plus grande tangia jamais réalisée, orchestrée par Bana, véritable légende vivante des fourneaux marrakchis.
Une performance culinaire hors norme, mais pas seulement : un moment suspendu, entre art, patrimoine et générosité. Car à Marrakech, la tangia, ce n’est pas juste un plat. C’est un rituel, un symbole, une mémoire vivante qu’on partage autour du feu comme on transmet un poème.
Le feu sacré de Bana, le maestro des braises
Dans la cour du Musée de l’Art Culinaire Marocain, les regards se tournent tous vers lui : Bana, gardien du goût et des traditions. Connu pour sa maîtrise du feu et son amour inconditionnel de la cuisine populaire, il a supervisé chaque étape de cette tangia monumentale avec calme et rigueur. Une cuisson lente, maîtrisée, à base de savoir-faire ancestral, de jarret de veau, de citron confit, d’épices et… de patience.
Le plus fort ? La tangia n’est pas arrivée au musée toute seule. Partie en procession depuis la mosquée Moulay Yazid, elle a traversé la médina portée par une foule joyeuse, au rythme envoûtant de la Dakka Marrakchia, classée au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Une traversée sensorielle où les tambours faisaient vibrer les murs, et les sourires résonnaient comme des youyous.
Une ville en fête, une identité partagée
Ce jour-là, la tangia était bien plus qu’un mets. C’était une déclaration d’amour à Marrakech, à sa cuisine, à sa culture. Le public, conquis, a salué avec ferveur cette union parfaite entre musique, gastronomie et transmission intergénérationnelle. Le tout dans un lieu emblématique : le Musée de l’Art Culinaire Marocain, installé dans un palais du XVIIIe siècle, qui célèbre chaque jour les traditions culinaires du Royaume.
Avec ses expositions immersives, ses ateliers animés par des dadas, ses dégustations et son restaurant panoramique, ce musée n’est pas un simple lieu d’exposition : c’est un hommage vivant à l’excellence de la table marocaine, une scène ouverte pour la mémoire culinaire de tout un peuple.
Une performance culinaire hors norme, mais pas seulement : un moment suspendu, entre art, patrimoine et générosité. Car à Marrakech, la tangia, ce n’est pas juste un plat. C’est un rituel, un symbole, une mémoire vivante qu’on partage autour du feu comme on transmet un poème.
Le feu sacré de Bana, le maestro des braises
Dans la cour du Musée de l’Art Culinaire Marocain, les regards se tournent tous vers lui : Bana, gardien du goût et des traditions. Connu pour sa maîtrise du feu et son amour inconditionnel de la cuisine populaire, il a supervisé chaque étape de cette tangia monumentale avec calme et rigueur. Une cuisson lente, maîtrisée, à base de savoir-faire ancestral, de jarret de veau, de citron confit, d’épices et… de patience.
Le plus fort ? La tangia n’est pas arrivée au musée toute seule. Partie en procession depuis la mosquée Moulay Yazid, elle a traversé la médina portée par une foule joyeuse, au rythme envoûtant de la Dakka Marrakchia, classée au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Une traversée sensorielle où les tambours faisaient vibrer les murs, et les sourires résonnaient comme des youyous.
Une ville en fête, une identité partagée
Ce jour-là, la tangia était bien plus qu’un mets. C’était une déclaration d’amour à Marrakech, à sa cuisine, à sa culture. Le public, conquis, a salué avec ferveur cette union parfaite entre musique, gastronomie et transmission intergénérationnelle. Le tout dans un lieu emblématique : le Musée de l’Art Culinaire Marocain, installé dans un palais du XVIIIe siècle, qui célèbre chaque jour les traditions culinaires du Royaume.
Avec ses expositions immersives, ses ateliers animés par des dadas, ses dégustations et son restaurant panoramique, ce musée n’est pas un simple lieu d’exposition : c’est un hommage vivant à l’excellence de la table marocaine, une scène ouverte pour la mémoire culinaire de tout un peuple.
