Le choc entre le Raja Casablanca et l’AS FAR, prévu mardi à 20h00 au stade Larbi Zaouli de Casablanca dans le cadre de la Ligue des Champions (groupe B), promet une confrontation palpitante. Ce duel mettra en scène deux poids lourds du football marocain et africain, prêts à s’illustrer dans cette prestigieuse compétition.
Le Raja, triple vainqueur de la Ligue des Champions (1989, 1997, 1999), traverse une période difficile, marquée par une série de cinq matchs nuls consécutifs en Botola Pro D1, dont un récent face au Wydad Casablanca (1-1). Une victoire lors de cette rencontre pourrait redynamiser une saison décevante, malgré l’arrivée de l’entraîneur portugais Ricardo Sá Pinto en octobre dernier.
De son côté, l’AS FAR, actuellement troisième en Botola Pro, ambitionne un retour en force sur la scène continentale. Avec un palmarès comprenant une Ligue des Champions (1985) et une Coupe de la CAF (2005), les Militaires espèrent tourner la page de leur élimination prématurée lors de l’édition précédente.
Dans ce groupe B, les deux clubs marocains devront également faire face aux Sud-Africains de Mamelodi Sundowns, candidats sérieux, ainsi qu’aux Congolais de l’AC Maniema Union, capables de jouer les trouble-fêtes.
Le Raja, triple vainqueur de la Ligue des Champions (1989, 1997, 1999), traverse une période difficile, marquée par une série de cinq matchs nuls consécutifs en Botola Pro D1, dont un récent face au Wydad Casablanca (1-1). Une victoire lors de cette rencontre pourrait redynamiser une saison décevante, malgré l’arrivée de l’entraîneur portugais Ricardo Sá Pinto en octobre dernier.
De son côté, l’AS FAR, actuellement troisième en Botola Pro, ambitionne un retour en force sur la scène continentale. Avec un palmarès comprenant une Ligue des Champions (1985) et une Coupe de la CAF (2005), les Militaires espèrent tourner la page de leur élimination prématurée lors de l’édition précédente.
Dans ce groupe B, les deux clubs marocains devront également faire face aux Sud-Africains de Mamelodi Sundowns, candidats sérieux, ainsi qu’aux Congolais de l’AC Maniema Union, capables de jouer les trouble-fêtes.