Antitrust aux États-Unis :
Selon X et xAI, Apple utiliserait sa position dominante sur le marché américain des smartphones (qu’ils estiment à 65 % de parts) pour promouvoir ChatGPT, tandis qu’OpenAI contrôlerait, d’après eux, au moins 80 % du segment des assistants génératifs. La plainte affirme qu’Apple aurait artificiellement amélioré le classement de ChatGPT dans la catégorie “IA” de l’App Store après l’annonce de leur partenariat conclu en juin 2024, intégrant le chatbot à certaines fonctionnalités d’iOS et à Siri. Musk soutient que l’accord offrirait à OpenAI un accès privilégié à “des milliards de requêtes” issues de centaines de millions d’appareils, verrouillant l’écosystème et empêchant l’essor de solutions alternatives.
Le document présente OpenAI comme privilégiant sa croissance au détriment de la sécurité publique, reprenant des griefs déjà formulés par Musk dans une précédente action l’an passé. Il décrit aussi Apple comme cherchant à protéger la franchise iPhone face à des “super applications” transversales.
OpenAI a répliqué par une plainte séparée accusant Elon Musk de harcèlement et qualifie cette nouvelle offensive judiciaire de prolongement de tactiques répétées. Apple, pour l’instant, n’a pas commenté. Certaines allégations font écho à une action antitrust distincte du Département de la Justice déjà dirigée contre Apple.
L’issue pourrait influencer la manière dont les intégrations d’IA tierces sont évaluées par les autorités de concurrence dans les écosystèmes mobiles fermés. Le dossier devrait être suivi de près par régulateurs, développeurs et investisseurs mondiaux dans l’IA.
Le document présente OpenAI comme privilégiant sa croissance au détriment de la sécurité publique, reprenant des griefs déjà formulés par Musk dans une précédente action l’an passé. Il décrit aussi Apple comme cherchant à protéger la franchise iPhone face à des “super applications” transversales.
OpenAI a répliqué par une plainte séparée accusant Elon Musk de harcèlement et qualifie cette nouvelle offensive judiciaire de prolongement de tactiques répétées. Apple, pour l’instant, n’a pas commenté. Certaines allégations font écho à une action antitrust distincte du Département de la Justice déjà dirigée contre Apple.
L’issue pourrait influencer la manière dont les intégrations d’IA tierces sont évaluées par les autorités de concurrence dans les écosystèmes mobiles fermés. Le dossier devrait être suivi de près par régulateurs, développeurs et investisseurs mondiaux dans l’IA.


