La 10e édition du Festival de la Hadra féminine et de la musique du Hal à Essaouira, portée par Latifa Boumazough, réhabilite la Hadra féminine comme tradition soufie autonome, au-delà du folklore.
Ouvert le 19 décembre par un défilé sur la place Al-Menzah, le festival investit l’espace public et met en dialogue corps, voix, Dikr et mémoire collective. Les troupes d’Essaouira, de Salé et Oulad Chta (Tata) ont illustré la diversité régionale.
Le 20 décembre, une table ronde sur « La femme dans l’expérience soufie » (Dr Noureddine Danyaji) et une communication de Brahim El Haissen sur la Guedra ont approfondi l’approche anthropologique. La présentation du recueil « Mysticité et plasticité » de Loubaba Laâlej, avec lectures d’Abdellah Cheikh, a tissé un lien entre poésie, arts plastiques et spiritualité.
Ouvert le 19 décembre par un défilé sur la place Al-Menzah, le festival investit l’espace public et met en dialogue corps, voix, Dikr et mémoire collective. Les troupes d’Essaouira, de Salé et Oulad Chta (Tata) ont illustré la diversité régionale.
Le 20 décembre, une table ronde sur « La femme dans l’expérience soufie » (Dr Noureddine Danyaji) et une communication de Brahim El Haissen sur la Guedra ont approfondi l’approche anthropologique. La présentation du recueil « Mysticité et plasticité » de Loubaba Laâlej, avec lectures d’Abdellah Cheikh, a tissé un lien entre poésie, arts plastiques et spiritualité.
