Invitée du podcast “Andi Soual”, présenté par le journaliste Mohamed Kais sur la chaîne “Al Mashhad”, elle a abordé des sujets intimes, mêlant douleur, résilience et quête de paix intérieure.
Un passé marqué par la stabilité familiale
Originaire de Tétouan, une ville qu’elle décrit comme “un petit coin d’Europe”, Farah El Fassi a grandi dans un foyer empreint de sérénité et de valeurs solides. Dernière d’une fratrie, elle se rappelle une enfance heureuse, bercée par l’amour et la stabilité que lui offraient ses parents. Cependant, cette fondation solide s’est effondrée avec la perte tragique de ses deux parents, un événement qui a laissé un vide immense dans sa vie et a marqué le début de son isolement émotionnel.
Une histoire d’amour qui vire au désenchantement
Farah El Fassi a également levé le voile sur les circonstances de son divorce avec Omar Lotfi, un mariage qui avait pourtant commencé par une belle histoire d’amour. Elle raconte avoir aimé son ex-mari à un point où elle le plaçait même au-dessus d’elle-même et de sa famille. Cependant, au fil du temps, leur relation a été marquée par un manque de compréhension mutuelle et des erreurs répétées de la part de son époux. Ces blessures, qu’elle qualifie de profondes, ont fini par éteindre ses sentiments à son égard.
Elle confie que c’est elle qui a pris l’initiative de demander le divorce, incapable de continuer à vivre dans une relation où l’amour n’était plus réciproque. Elle évoque également la douleur causée par la trahison, une expérience qu’elle décrit comme “une brûlure glaciale” capable de transformer une personne de manière irréversible.
Une résilience face à l’adversité
La séparation n’a pas été facile pour Farah, d’autant plus qu’elle devait gérer seule la responsabilité de sa fille tout en affrontant le vide laissé par ses parents décédés. Ces épreuves successives l'ont plongée dans une profonde dépression, au point de penser à mettre fin à ses jours. Elle raconte avoir trouvé un certain réconfort dans la foi et la prière, qui l’ont aidée à surmonter cette période sombre. Elle a également suivi une thérapie psychologique et pris des médicaments pour retrouver un équilibre mental.
Farah se souvient avec douleur de la perte de sa mère, survenue peu de temps après une dernière conversation téléphonique. Ce moment, qu’elle qualifie de “choc insurmontable”, a marqué un tournant dans sa vie. Malgré tout, elle a trouvé la force de continuer en se raccrochant aux souvenirs de ses parents et à leur image, qu’elle garde précieusement dans son cœur.
Le témoignage de Farah El Fassi met en lumière des thèmes universels tels que le deuil, la résilience et la quête de soi après une rupture. Il illustre aussi les défis auxquels de nombreuses femmes font face, notamment lorsqu’elles doivent jongler entre responsabilités familiales et blessures personnelles. Son récit sincère et poignant invite à une réflexion sur l’importance de la santé mentale et sur la manière dont la foi et le soutien psychologique peuvent jouer un rôle crucial dans la reconstruction de soi.
Un passé marqué par la stabilité familiale
Originaire de Tétouan, une ville qu’elle décrit comme “un petit coin d’Europe”, Farah El Fassi a grandi dans un foyer empreint de sérénité et de valeurs solides. Dernière d’une fratrie, elle se rappelle une enfance heureuse, bercée par l’amour et la stabilité que lui offraient ses parents. Cependant, cette fondation solide s’est effondrée avec la perte tragique de ses deux parents, un événement qui a laissé un vide immense dans sa vie et a marqué le début de son isolement émotionnel.
Une histoire d’amour qui vire au désenchantement
Farah El Fassi a également levé le voile sur les circonstances de son divorce avec Omar Lotfi, un mariage qui avait pourtant commencé par une belle histoire d’amour. Elle raconte avoir aimé son ex-mari à un point où elle le plaçait même au-dessus d’elle-même et de sa famille. Cependant, au fil du temps, leur relation a été marquée par un manque de compréhension mutuelle et des erreurs répétées de la part de son époux. Ces blessures, qu’elle qualifie de profondes, ont fini par éteindre ses sentiments à son égard.
Elle confie que c’est elle qui a pris l’initiative de demander le divorce, incapable de continuer à vivre dans une relation où l’amour n’était plus réciproque. Elle évoque également la douleur causée par la trahison, une expérience qu’elle décrit comme “une brûlure glaciale” capable de transformer une personne de manière irréversible.
Une résilience face à l’adversité
La séparation n’a pas été facile pour Farah, d’autant plus qu’elle devait gérer seule la responsabilité de sa fille tout en affrontant le vide laissé par ses parents décédés. Ces épreuves successives l'ont plongée dans une profonde dépression, au point de penser à mettre fin à ses jours. Elle raconte avoir trouvé un certain réconfort dans la foi et la prière, qui l’ont aidée à surmonter cette période sombre. Elle a également suivi une thérapie psychologique et pris des médicaments pour retrouver un équilibre mental.
Farah se souvient avec douleur de la perte de sa mère, survenue peu de temps après une dernière conversation téléphonique. Ce moment, qu’elle qualifie de “choc insurmontable”, a marqué un tournant dans sa vie. Malgré tout, elle a trouvé la force de continuer en se raccrochant aux souvenirs de ses parents et à leur image, qu’elle garde précieusement dans son cœur.
Le témoignage de Farah El Fassi met en lumière des thèmes universels tels que le deuil, la résilience et la quête de soi après une rupture. Il illustre aussi les défis auxquels de nombreuses femmes font face, notamment lorsqu’elles doivent jongler entre responsabilités familiales et blessures personnelles. Son récit sincère et poignant invite à une réflexion sur l’importance de la santé mentale et sur la manière dont la foi et le soutien psychologique peuvent jouer un rôle crucial dans la reconstruction de soi.


