Avec le Ramadan qui approche, les téléspectateurs marocains s’apprêtent à découvrir une nouvelle pépite signée Idriss Rouk. Le réalisateur revient sur le devant de la scène avec "Fatouma", une série dramatique qui promet de captiver les cœurs et les esprits. Entre suspense, émotions fortes et plongée dans le quotidien d’un souk casablancais, cette œuvre s’annonce comme l’un des grands rendez-vous télévisés de l’année.
Une histoire humaine au cœur du Maroc
"Fatouma", c’est avant tout une histoire de lutte et de résilience. Le personnage principal, incarné par une actrice dont le nom reste encore secret, est une femme confrontée à un double combat : celui de son passé qui ressurgit et celui du présent qui l’étrangle. Dans un souk populaire de Casablanca, où les odeurs d’épices côtoient les tensions sociales, Fatouma tente de construire une vie stable. Mais entre les pressions du pouvoir de l’argent et les résistances de son entourage, elle se retrouve face à des dilemmes qui ravivent des blessures anciennes.
La série explore des thèmes universels comme la quête de soi, les relations humaines et les souvenirs qui refusent de s’effacer. Tout cela sur fond de luttes sociales et économiques qui résonnent avec le quotidien marocain.
Un casting cinq étoiles pour un Ramadan sous tension
Pour porter cette histoire intense, Idriss Rouk s’est entouré d’un casting prestigieux. On retrouve des figures bien connues du petit écran marocain, comme Azziz Hattab, Fatima Zahra Bennasser, Tarek Boukhari, et Hassan Foulane. La série marque également le retour de l’acteur vétéran Mohamed Kafi, absent depuis plusieurs années.
Le réalisateur, fidèle à sa collaboration avec la société de production Sigma, mise sur une mise en scène immersive et réaliste. Les scènes sont tournées dans un souk authentique de Casablanca, où chaque détail, des échoppes aux discussions animées, contribue à plonger le spectateur dans l’univers de Fatouma.
À suivre ou à éviter ?
Avec Idriss Rouk derrière la caméra, difficile de passer à côté de "Fatouma". La série promet de secouer les émotions et de poser des questions sur les luttes personnelles et sociales qui nous touchent tous. Alors, préparez-vous à plonger dans cet univers riche et complexe dès le début du Ramadan 2025.
Une histoire humaine au cœur du Maroc
"Fatouma", c’est avant tout une histoire de lutte et de résilience. Le personnage principal, incarné par une actrice dont le nom reste encore secret, est une femme confrontée à un double combat : celui de son passé qui ressurgit et celui du présent qui l’étrangle. Dans un souk populaire de Casablanca, où les odeurs d’épices côtoient les tensions sociales, Fatouma tente de construire une vie stable. Mais entre les pressions du pouvoir de l’argent et les résistances de son entourage, elle se retrouve face à des dilemmes qui ravivent des blessures anciennes.
La série explore des thèmes universels comme la quête de soi, les relations humaines et les souvenirs qui refusent de s’effacer. Tout cela sur fond de luttes sociales et économiques qui résonnent avec le quotidien marocain.
Un casting cinq étoiles pour un Ramadan sous tension
Pour porter cette histoire intense, Idriss Rouk s’est entouré d’un casting prestigieux. On retrouve des figures bien connues du petit écran marocain, comme Azziz Hattab, Fatima Zahra Bennasser, Tarek Boukhari, et Hassan Foulane. La série marque également le retour de l’acteur vétéran Mohamed Kafi, absent depuis plusieurs années.
Le réalisateur, fidèle à sa collaboration avec la société de production Sigma, mise sur une mise en scène immersive et réaliste. Les scènes sont tournées dans un souk authentique de Casablanca, où chaque détail, des échoppes aux discussions animées, contribue à plonger le spectateur dans l’univers de Fatouma.
À suivre ou à éviter ?
Avec Idriss Rouk derrière la caméra, difficile de passer à côté de "Fatouma". La série promet de secouer les émotions et de poser des questions sur les luttes personnelles et sociales qui nous touchent tous. Alors, préparez-vous à plonger dans cet univers riche et complexe dès le début du Ramadan 2025.


