La 9e édition du Festival national des arts de la rue a été inaugurée jeudi soir à Fès, rassemblant des groupes venus de différentes régions du Royaume. Placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la cérémonie d’ouverture a offert un panorama vivant des arts urbains et de scène, mêlant théâtre, cirque, breakdance et rap.
Le lever de rideau a été assuré par “Le théâtre est né ici”, une pièce interprétée par Hamza El Hinda et Nisrine Lamnaja. Suivi par la troupe casablancaise “Casa Acrobat”, qui a captivé l’assistance avec des numéros de cirque intégrant ses dernières créations, l’artiste “Toxic” avec une série de performances rap, ainsi qu’une fanfare de cuivres dont le spectacle musical et chorégraphique a déclenché une forte interaction avec le public. Le graffeur meknessi Youssef Zourkan a également séduit l’audience en réalisant en direct une œuvre de graffiti en technique de dessin rapide.
Un festival vitrine de la proximité culturelle et des arts urbains
Dans une allocution prononcée en son nom par le directeur régional de la Culture de Fès‑Meknès, le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, a rappelé que le festival traduit la priorité donnée par le ministère à une action culturelle de proximité, ouverte aux diverses formes d’expression, et la conviction du rôle structurant de la culture dans la construction de l’être humain et le renforcement des valeurs de citoyenneté, d’ouverture et de dialogue.
Fruit de la collaboration entre les directions régionales de la Culture et de la Jeunesse, l’événement entend ancrer les arts de la rue dans le paysage national comme une expression authentique du pouls de la société et le miroir de ses mutations esthétiques et sociales.
Soutien aux jeunes talents et diversité des programmations
Le ministre a précisé que cette édition met l’accent sur la valorisation des formes variées des arts de la rue, l’encouragement de la création contemporaine et le soutien des jeunes talents, en leur offrant des espaces de représentation, de rencontre et d’échange. La programmation réunit des spectacles provenant de plusieurs villes et régions, composant une fresque artistique qui reflète la richesse des affluents civilisationnels et culturels du Royaume.
Pour Ismaïl Hamraoui, directeur régional du département de la Jeunesse à Fès‑Meknès, ces arts, proches du citoyen et porteurs des préoccupations de la société, transforment l’espace public en lieu d’interaction positive et de dialogue culturel, consolidant les valeurs esthétiques et citoyennes.
La cérémonie d’ouverture a également été marquée par la signature d’une convention de partenariat entre les deux directions régionales afin de déployer des programmes conjoints dans les domaines de la jeunesse et de la culture.
Cette édition accueille des troupes de référence spécialisées dans divers genres: arts du cirque, halqa et conte, performances patrimoniales, théâtre, spectacles pour enfants et arts urbains contemporains, confirmant l’ambition de Fès de faire du festival une scène ouverte sur la créativité nationale.
Le lever de rideau a été assuré par “Le théâtre est né ici”, une pièce interprétée par Hamza El Hinda et Nisrine Lamnaja. Suivi par la troupe casablancaise “Casa Acrobat”, qui a captivé l’assistance avec des numéros de cirque intégrant ses dernières créations, l’artiste “Toxic” avec une série de performances rap, ainsi qu’une fanfare de cuivres dont le spectacle musical et chorégraphique a déclenché une forte interaction avec le public. Le graffeur meknessi Youssef Zourkan a également séduit l’audience en réalisant en direct une œuvre de graffiti en technique de dessin rapide.
Un festival vitrine de la proximité culturelle et des arts urbains
Dans une allocution prononcée en son nom par le directeur régional de la Culture de Fès‑Meknès, le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, a rappelé que le festival traduit la priorité donnée par le ministère à une action culturelle de proximité, ouverte aux diverses formes d’expression, et la conviction du rôle structurant de la culture dans la construction de l’être humain et le renforcement des valeurs de citoyenneté, d’ouverture et de dialogue.
Fruit de la collaboration entre les directions régionales de la Culture et de la Jeunesse, l’événement entend ancrer les arts de la rue dans le paysage national comme une expression authentique du pouls de la société et le miroir de ses mutations esthétiques et sociales.
Soutien aux jeunes talents et diversité des programmations
Le ministre a précisé que cette édition met l’accent sur la valorisation des formes variées des arts de la rue, l’encouragement de la création contemporaine et le soutien des jeunes talents, en leur offrant des espaces de représentation, de rencontre et d’échange. La programmation réunit des spectacles provenant de plusieurs villes et régions, composant une fresque artistique qui reflète la richesse des affluents civilisationnels et culturels du Royaume.
Pour Ismaïl Hamraoui, directeur régional du département de la Jeunesse à Fès‑Meknès, ces arts, proches du citoyen et porteurs des préoccupations de la société, transforment l’espace public en lieu d’interaction positive et de dialogue culturel, consolidant les valeurs esthétiques et citoyennes.
La cérémonie d’ouverture a également été marquée par la signature d’une convention de partenariat entre les deux directions régionales afin de déployer des programmes conjoints dans les domaines de la jeunesse et de la culture.
Cette édition accueille des troupes de référence spécialisées dans divers genres: arts du cirque, halqa et conte, performances patrimoniales, théâtre, spectacles pour enfants et arts urbains contemporains, confirmant l’ambition de Fès de faire du festival une scène ouverte sur la créativité nationale.
