La 10ᵉ édition du Festival International des Écoles de Cinéma de Tétouan a attribué son Grand Prix au film brésilien "The One Who Stayed". Organisé avec plus de 100 projections et une compétition regroupant 40 films provenant de 36 pays, cet événement a également mis à l’honneur des œuvres mexicaines, égyptiennes, chinoises, européennes et africaines, soulignant ainsi son ampleur internationale.
The "One Who Stayed", présenté par l’École supérieure de publicité et de marketing du Brésil, s’est distingué comme le meilleur film de cette édition. Cette reconnaissance témoigne de l’ascension du FIDEC, qui est devenu en une décennie un espace de référence pour la jeune création mondiale.
Le jury a également récompensé le court-métrage mexicain "Family Sunday" du Centre de formation cinématographique, tandis que le film égyptien "Love Bites", issu de l’Institut supérieur du cinéma, a été sacré meilleure fiction. Une mention spéciale a été attribuée à Solos, présenté par l’Académie de cinéma de Pékin.
Le documentaire a occupé une place centrale dans cette édition, avec un prix décerné ex æquo aux films "In Flanders Fields", porté par le programme DocNomads réunissant la Belgique, la Hongrie et le Portugal, et La Station, réalisé par l’Université Aix-Marseille. Dans le domaine de l’animation, l’école française La Poudrière a été mise à l’honneur grâce à son film "À l’Ombre des draps", tandis que le Prix des droits humains a été attribué à Walud, œuvre de l’Université de télévision et de cinéma de Munich.
The "One Who Stayed", présenté par l’École supérieure de publicité et de marketing du Brésil, s’est distingué comme le meilleur film de cette édition. Cette reconnaissance témoigne de l’ascension du FIDEC, qui est devenu en une décennie un espace de référence pour la jeune création mondiale.
Le jury a également récompensé le court-métrage mexicain "Family Sunday" du Centre de formation cinématographique, tandis que le film égyptien "Love Bites", issu de l’Institut supérieur du cinéma, a été sacré meilleure fiction. Une mention spéciale a été attribuée à Solos, présenté par l’Académie de cinéma de Pékin.
Le documentaire a occupé une place centrale dans cette édition, avec un prix décerné ex æquo aux films "In Flanders Fields", porté par le programme DocNomads réunissant la Belgique, la Hongrie et le Portugal, et La Station, réalisé par l’Université Aix-Marseille. Dans le domaine de l’animation, l’école française La Poudrière a été mise à l’honneur grâce à son film "À l’Ombre des draps", tandis que le Prix des droits humains a été attribué à Walud, œuvre de l’Université de télévision et de cinéma de Munich.
Le FIDEC : un laboratoire de créativité et de formation cinématographique
Marrakech a ouvert le 28 novembre 2025 la 22ᵉ édition de son Festival International du Film (FIFM), marquant ainsi un retour à la magie du cinéma. La soprano Samira Kadiri, membre du jury, a souligné la richesse des participations qui témoignent de la vitalité des écoles de cinéma à l’échelle mondiale. Elle a noté que, fort de dix années d’expérience, le festival atteint aujourd’hui une véritable maturité et s’inscrit durablement dans le paysage des grands événements cinématographiques.
Le réalisateur égyptien Mahmoud Zain, lauréat pour "Love Bites", a exprimé son honneur de recevoir cette distinction au Maroc, rappelant qu’il s’agit de la deuxième récompense obtenue dans le Royaume et de la sixième pour son film depuis sa sortie.
La cérémonie de clôture a également rendu hommage à deux figures majeures du cinéma : le cinéaste marocain Anouar Majid et Jean Michel Kibushi Ndjate Wooto, pionnier du cinéma d’animation en Afrique subsaharienne. Ce dernier a salué le festival comme un véritable laboratoire, réunissant des talents divers et contribuant à la qualité de la formation cinématographique.
Hamid El Aidouni, directeur du festival, a qualifié cette édition d’exceptionnelle grâce à son ampleur, avec plus de 100 projections et des films issus de 36 pays, ainsi que la richesse des ateliers de formation et des rencontres organisées en parallèle. Il a rappelé que les hommages rendus tout au long de la semaine ont célébré des pionniers de l’enseignement cinématographique à l’échelle internationale.
Organisé en partenariat avec l’Association Bidayyat, la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Tétouan, le Centre cinématographique marocain, l’Institut français du Maroc, l’Institut français de Tétouan et le GRECALAB, premier laboratoire marocain spécialisé dans les études cinématographiques, le festival a permis de découvrir un large éventail de sensibilités artistiques et de formes narratives.
En réunissant quarante films en compétition et des œuvres des écoles les plus prestigieuses du monde, le FIDEC 2025 célèbre dix années de transmission et de création, consolidant ainsi son rôle de passerelle entre les écoles, les cultures et les générations.
Le réalisateur égyptien Mahmoud Zain, lauréat pour "Love Bites", a exprimé son honneur de recevoir cette distinction au Maroc, rappelant qu’il s’agit de la deuxième récompense obtenue dans le Royaume et de la sixième pour son film depuis sa sortie.
La cérémonie de clôture a également rendu hommage à deux figures majeures du cinéma : le cinéaste marocain Anouar Majid et Jean Michel Kibushi Ndjate Wooto, pionnier du cinéma d’animation en Afrique subsaharienne. Ce dernier a salué le festival comme un véritable laboratoire, réunissant des talents divers et contribuant à la qualité de la formation cinématographique.
Hamid El Aidouni, directeur du festival, a qualifié cette édition d’exceptionnelle grâce à son ampleur, avec plus de 100 projections et des films issus de 36 pays, ainsi que la richesse des ateliers de formation et des rencontres organisées en parallèle. Il a rappelé que les hommages rendus tout au long de la semaine ont célébré des pionniers de l’enseignement cinématographique à l’échelle internationale.
Organisé en partenariat avec l’Association Bidayyat, la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Tétouan, le Centre cinématographique marocain, l’Institut français du Maroc, l’Institut français de Tétouan et le GRECALAB, premier laboratoire marocain spécialisé dans les études cinématographiques, le festival a permis de découvrir un large éventail de sensibilités artistiques et de formes narratives.
En réunissant quarante films en compétition et des œuvres des écoles les plus prestigieuses du monde, le FIDEC 2025 célèbre dix années de transmission et de création, consolidant ainsi son rôle de passerelle entre les écoles, les cultures et les générations.
