Du 22 au 27 septembre, la ville de Salé s’apprête à vibrer au rythme du cinéma au féminin avec la 18ᵉ édition du Festival international du film de femmes (FIFFS). Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, cet événement incontournable célèbre les réalisatrices marocaines et internationales tout en ouvrant le débat sur la condition féminine et les grands enjeux sociaux abordés à l'écran. Entre compétitions, hommages, et rencontres, le FIFFS promet une édition riche en émotions et en réflexions.
Une édition sous le signe de l’engagement
Le FIFFS 2025 ne se contente pas d’être une vitrine artistique. Il se positionne comme un espace de réflexion autour de thèmes sensibles tels que la violence, le harcèlement, la parité ou encore les droits de la famille. À travers leurs œuvres, les réalisatrices marocaines et étrangères posent un regard critique sur ces réalités, confirmant que le cinéma est bien plus qu’un divertissement : c’est un miroir des mutations sociales.
Un des temps forts de cette édition sera un séminaire consacré à la censure dans le cinéma. Cinéastes, critiques et défenseurs des droits humains débattront des obstacles qui pèsent sur la création artistique, qu’il s’agisse d’autocensure ou de restrictions institutionnelles. Une mise à nu des défis auxquels les artistes doivent faire face pour exprimer librement leur vision.
Compétitions, hommages et projections
Le Festival propose plusieurs compétitions, allant des longs métrages de fiction aux documentaires. Parmi les dix films en lice pour le Grand Prix, neuf sont signés par des réalisatrices et représentent une diversité géographique impressionnante, de l’Europe à l’Afrique en passant par l’Amérique du Sud. Le Maroc est également à l’honneur avec le film « Algues amères » de Driss Chouika.
Les hommages rendus cette année célèbrent des figures emblématiques du cinéma et des médias, telles que l’actrice égyptienne Hanan Motawie ou les actrices marocaines Souad Nejjar et Farah El Fassi. Ces moments de reconnaissance témoignent de l’impact des femmes dans l’industrie cinématographique et au-delà.
Fidèle à son esprit de proximité, le FIFFS investira plusieurs espaces de Salé, notamment des salles de cinéma et des lieux en plein air. Des ateliers dans les écoles et universités visent également à initier les jeunes à la culture de l’image et à encourager la création de ciné-clubs. Parce que le cinéma, c’est aussi une affaire de transmission.
À voir, écouter et débattre
Le Festival international du film de femmes de Salé n’est pas qu’un rendez-vous cinématographique. C’est une invitation à réfléchir, à échanger, et à découvrir des récits qui bousculent les stéréotypes. Que vous soyez cinéphile ou simplement curieux, ce festival est une occasion unique de plonger dans l’univers du cinéma au féminin et de repartir avec un regard renouvelé.
Une édition sous le signe de l’engagement
Le FIFFS 2025 ne se contente pas d’être une vitrine artistique. Il se positionne comme un espace de réflexion autour de thèmes sensibles tels que la violence, le harcèlement, la parité ou encore les droits de la famille. À travers leurs œuvres, les réalisatrices marocaines et étrangères posent un regard critique sur ces réalités, confirmant que le cinéma est bien plus qu’un divertissement : c’est un miroir des mutations sociales.
Un des temps forts de cette édition sera un séminaire consacré à la censure dans le cinéma. Cinéastes, critiques et défenseurs des droits humains débattront des obstacles qui pèsent sur la création artistique, qu’il s’agisse d’autocensure ou de restrictions institutionnelles. Une mise à nu des défis auxquels les artistes doivent faire face pour exprimer librement leur vision.
Compétitions, hommages et projections
Le Festival propose plusieurs compétitions, allant des longs métrages de fiction aux documentaires. Parmi les dix films en lice pour le Grand Prix, neuf sont signés par des réalisatrices et représentent une diversité géographique impressionnante, de l’Europe à l’Afrique en passant par l’Amérique du Sud. Le Maroc est également à l’honneur avec le film « Algues amères » de Driss Chouika.
Les hommages rendus cette année célèbrent des figures emblématiques du cinéma et des médias, telles que l’actrice égyptienne Hanan Motawie ou les actrices marocaines Souad Nejjar et Farah El Fassi. Ces moments de reconnaissance témoignent de l’impact des femmes dans l’industrie cinématographique et au-delà.
Fidèle à son esprit de proximité, le FIFFS investira plusieurs espaces de Salé, notamment des salles de cinéma et des lieux en plein air. Des ateliers dans les écoles et universités visent également à initier les jeunes à la culture de l’image et à encourager la création de ciné-clubs. Parce que le cinéma, c’est aussi une affaire de transmission.
À voir, écouter et débattre
Le Festival international du film de femmes de Salé n’est pas qu’un rendez-vous cinématographique. C’est une invitation à réfléchir, à échanger, et à découvrir des récits qui bousculent les stéréotypes. Que vous soyez cinéphile ou simplement curieux, ce festival est une occasion unique de plonger dans l’univers du cinéma au féminin et de repartir avec un regard renouvelé.


