C’est ce qui a poussé les conseillers de la CDT à faire leur proposition de plafonnement.
Le groupe de la Confédération démocratique du travail à la Chambre des Conseillers avait soumis deux propositions de loi sur lesquelles le gouvernement vient de trancher.
La première concerne l’instauration d’un plafond pour les prix des carburants, de manière à stopper la flambée consécutive au renchérissement des cours à l’international suite aux tensions entre la Russie et l’Ukraine.
La deuxième proposition concerne, de son côté, la mise en vente de la Samir pour profiter du contexte actuel qui permettrait d’en dégager des revenus conséquents.
Leur idée est simple: retirer les hydrocarbures de la liste des produits libéralisés et instaurer une limite de prix qui, une fois franchie, active un mécanisme de subvention qui permet de soulager les finances des ménages. Mais cette proposition n’a pas été entendue.
Du moins, pas pour le moment.
La première concerne l’instauration d’un plafond pour les prix des carburants, de manière à stopper la flambée consécutive au renchérissement des cours à l’international suite aux tensions entre la Russie et l’Ukraine.
La deuxième proposition concerne, de son côté, la mise en vente de la Samir pour profiter du contexte actuel qui permettrait d’en dégager des revenus conséquents.
Leur idée est simple: retirer les hydrocarbures de la liste des produits libéralisés et instaurer une limite de prix qui, une fois franchie, active un mécanisme de subvention qui permet de soulager les finances des ménages. Mais cette proposition n’a pas été entendue.
Du moins, pas pour le moment.