Liga : Mbappé en patron, le Barça renversant
Le Real Madrid n’a pas tremblé à Oviedo (3-0). Et s’il fallait encore une confirmation, elle est venue de Kylian Mbappé. Après un penalty victorieux en ouverture contre Osasuna, le capitaine des Bleus a signé un doublé dans le jeu, avec une finition clinique et une disponibilité constante. Vinicius, laissé sur le banc au coup d’envoi, est entré pour servir un caviar au Français puis conclure lui-même la soirée par un troisième but. Un symbole fort : ce Real a des armes partout, et Mbappé y imprime déjà son rythme, avec trois buts en deux matchs.
Barcelone, en revanche, a connu une soirée tourmentée. Surpris par Levante, menés 2-0 à la pause, les Catalans ont dû s’en remettre à Pedri, Ferran Torres et à un coup de pouce adverse dans les arrêts de jeu pour renverser la situation (2-3). Plus que la victoire, c’est le mental qui est à retenir : le Barça version Flick a su réagir dans l’adversité.
L’Atlético Madrid, lui, est encore à l’arrêt. Déjà battus en ouverture, les Colchoneros ont été accrochés à domicile par Elche (1-1), malgré l’entrée en jeu d’Antoine Griezmann. Deux journées et déjà une impression de retard sur les deux grands rivaux. À l’inverse, Villarreal a frappé fort : Tajon Buchanan a signé un triplé retentissant dans un succès éclatant contre Gérone (5-0). Porté par un Nicolas Pépé intenable, le Sous-Marin Jaune s’offre la première place et une confiance décuplée.
Barcelone, en revanche, a connu une soirée tourmentée. Surpris par Levante, menés 2-0 à la pause, les Catalans ont dû s’en remettre à Pedri, Ferran Torres et à un coup de pouce adverse dans les arrêts de jeu pour renverser la situation (2-3). Plus que la victoire, c’est le mental qui est à retenir : le Barça version Flick a su réagir dans l’adversité.
L’Atlético Madrid, lui, est encore à l’arrêt. Déjà battus en ouverture, les Colchoneros ont été accrochés à domicile par Elche (1-1), malgré l’entrée en jeu d’Antoine Griezmann. Deux journées et déjà une impression de retard sur les deux grands rivaux. À l’inverse, Villarreal a frappé fort : Tajon Buchanan a signé un triplé retentissant dans un succès éclatant contre Gérone (5-0). Porté par un Nicolas Pépé intenable, le Sous-Marin Jaune s’offre la première place et une confiance décuplée.
Premier League : Arsenal, un festival offensif ; City, un mirage
À l’Emirates, c’était un samedi de fête. Arsenal a balayé Leeds (5-0) dans une démonstration offensive. Viktor Gyökeres, recrue phare, a ouvert son compteur en Premier League avec un doublé plein de puissance. Présenté avant le coup d’envoi, Eberechi Eze a senti l’ovation du public avant même ses premières minutes. Mais la soirée n’a pas été parfaite : Saka et Ødegaard sont sortis blessés, un détail qui pourrait peser.
Manchester City, favori annoncé, a subi son premier coup d’arrêt. Contre Tottenham (0-2), les Citizens ont dominé sans concrétiser, avant de se faire punir en contre. Pep Guardiola a vu son équipe stérile malgré la titularisation de Rayan Cherki, discret pour sa première. Un rappel que la saison anglaise ne sera pas un long fleuve tranquille.
Manchester United, de son côté, n’a toujours pas gagné. À Fulham (1-1), les Red Devils ont ouvert le score avant de céder. Bruno Fernandes a raté un penalty, et les recrues offensives ne trouvent pas encore la mire. L’équipe paraît déjà sous tension, avec un seul point en deux journées.
À Liverpool, Everton a vécu une renaissance. Inaugurant son nouveau stade par une victoire sur Brighton (2-0), les Toffees ont célébré Jack Grealish. Transparent à Manchester City, il a signé deux passes décisives, retrouvant sa liberté créative. Le joueur que beaucoup pensaient perdu se réinvente au bord de la Mersey.
Manchester City, favori annoncé, a subi son premier coup d’arrêt. Contre Tottenham (0-2), les Citizens ont dominé sans concrétiser, avant de se faire punir en contre. Pep Guardiola a vu son équipe stérile malgré la titularisation de Rayan Cherki, discret pour sa première. Un rappel que la saison anglaise ne sera pas un long fleuve tranquille.
Manchester United, de son côté, n’a toujours pas gagné. À Fulham (1-1), les Red Devils ont ouvert le score avant de céder. Bruno Fernandes a raté un penalty, et les recrues offensives ne trouvent pas encore la mire. L’équipe paraît déjà sous tension, avec un seul point en deux journées.
À Liverpool, Everton a vécu une renaissance. Inaugurant son nouveau stade par une victoire sur Brighton (2-0), les Toffees ont célébré Jack Grealish. Transparent à Manchester City, il a signé deux passes décisives, retrouvant sa liberté créative. Le joueur que beaucoup pensaient perdu se réinvente au bord de la Mersey.
Serie A : De Bruyne éclaire Naples
En Italie, les regards se tournaient vers deux recrues. Kevin De Bruyne a illuminé Naples avec un coup franc magistral lors de la victoire contre Sassuolo (2-0). À 34 ans, le Belge s’impose déjà comme le chef d’orchestre du champion en titre.
À Turin, la Juventus a souri grâce à Jonathan David. L’ancien Lillois a marqué pour ses débuts, offrant l’ouverture du score face à Parme (2-0). Dusan Vlahovic, entré en jeu, a scellé le succès. Entre l’efficacité du Canadien et la profondeur du banc, la Juve semble retrouver des atouts offensifs.
San Siro, en revanche, a grondé. L’AC Milan, malgré Luka Modric titulaire pour sa première en Serie A, s’est incliné contre le promu Cremonese (1-2). Un revers inattendu, symbole d’un chantier encore immense. Pendant ce temps, l’AS Rome s’est imposée sans éclat face à Bologne (1-0), et Côme a surpris la Lazio (2-0), confirmant que le projet mené par Fabregas pourrait bousculer la hiérarchie.
À Turin, la Juventus a souri grâce à Jonathan David. L’ancien Lillois a marqué pour ses débuts, offrant l’ouverture du score face à Parme (2-0). Dusan Vlahovic, entré en jeu, a scellé le succès. Entre l’efficacité du Canadien et la profondeur du banc, la Juve semble retrouver des atouts offensifs.
San Siro, en revanche, a grondé. L’AC Milan, malgré Luka Modric titulaire pour sa première en Serie A, s’est incliné contre le promu Cremonese (1-2). Un revers inattendu, symbole d’un chantier encore immense. Pendant ce temps, l’AS Rome s’est imposée sans éclat face à Bologne (1-0), et Côme a surpris la Lazio (2-0), confirmant que le projet mené par Fabregas pourrait bousculer la hiérarchie.
Ligue 1 : Paris domine-t-il déjà ?
La Ligue 1 a retrouvé son équilibre ce week-end. Le Paris Saint-Germain, encore en phase de réglages, n’a pas tremblé face à Nantes (2-0). Sans forcer, les Parisiens ont imposé leur rythme grâce à une maîtrise collective et une intensité retrouvée. Dans ce PSG version Luis Enrique, chaque match ressemble moins à un test qu’à une montée en puissance progressive : les titulaires assurent, les jeunes apportent du dynamisme en fin de rencontre, et le groupe prend de la consistance.
Derrière, Lille a frappé fort en disposant de Monaco (1-0) dans le choc du dimanche soir. Dans un match verrouillé et tendu, le LOSC a su patienter avant de punir son adversaire. Ce succès, face à un concurrent direct pour l’Europe, donne un relief particulier au début de saison nordiste : rigueur défensive, engagement collectif et efficacité quand il le faut.
Lens, après une entame ratée, a réagi au Havre (1-2). Saïd sur penalty et Fofana ont permis aux Sang et Or de se remettre en marche, malgré une fin de match tendue. Un succès nécessaire, plus psychologique que spectaculaire, mais qui relance leur dynamique.
Strasbourg continue d’afficher un visage séduisant. Face à Nantes (1-0), les Alsaciens ont fait preuve de patience et de maturité, débloquant la rencontre sur une tête d’Emegha. Solides, cohérents et réalistes, ils enchaînent une deuxième victoire en deux journées.
Quant à l’Olympique de Marseille, il a été tenu en échec par le Paris FC (1-1). Les Marseillais avaient pourtant pris l’avantage, mais ils ont manqué de constance et laissé filer deux points qui paraissaient à leur portée. Entre incapacité à tuer le match et quelques fragilités défensives, l’OM sort frustré de ce déplacement, et la pression monte déjà autour de De Zerbi pour donner plus de régularité à son équipe.
Derrière, Lille a frappé fort en disposant de Monaco (1-0) dans le choc du dimanche soir. Dans un match verrouillé et tendu, le LOSC a su patienter avant de punir son adversaire. Ce succès, face à un concurrent direct pour l’Europe, donne un relief particulier au début de saison nordiste : rigueur défensive, engagement collectif et efficacité quand il le faut.
Lens, après une entame ratée, a réagi au Havre (1-2). Saïd sur penalty et Fofana ont permis aux Sang et Or de se remettre en marche, malgré une fin de match tendue. Un succès nécessaire, plus psychologique que spectaculaire, mais qui relance leur dynamique.
Strasbourg continue d’afficher un visage séduisant. Face à Nantes (1-0), les Alsaciens ont fait preuve de patience et de maturité, débloquant la rencontre sur une tête d’Emegha. Solides, cohérents et réalistes, ils enchaînent une deuxième victoire en deux journées.
Quant à l’Olympique de Marseille, il a été tenu en échec par le Paris FC (1-1). Les Marseillais avaient pourtant pris l’avantage, mais ils ont manqué de constance et laissé filer deux points qui paraissaient à leur portée. Entre incapacité à tuer le match et quelques fragilités défensives, l’OM sort frustré de ce déplacement, et la pression monte déjà autour de De Zerbi pour donner plus de régularité à son équipe.