Washington & Téhéran, 22 juin 2025
Dans un geste de guerre d’ampleur, les États-Unis ont mené ce week-end des frappes aériennes sur trois installations nucléaires iraniennes – Fordow, Natanz et Ispahan – en soutien à la campagne militaire israélienne, a annoncé l’ancien président américain Donald Trump
Des bombardiers B‑2 ont largué six bombes bunker-buster de 13 600 kg sur Fordow, un site souterrain protégé, tandis que missiles Tomahawk ont visé Natanz et Ispahan
Trump a qualifié l’opération de succès spectaculaire, assurant que les avions américains avaient quitté l’espace aérien iranien et exigeant qu’« Iran fasse la paix », menaçant une riposte encore plus puissante si Téhéran répliquait
Israël, avec le Premier ministre Netanyahu, a salué l’action, la qualifiant de point tournant historique dans la sécurisation de la région
L’Iran reconnaît l'attaque mais affirme l’absence de contamination radioactive autour des sites
Il a immédiatement lancé des missiles contre Israël, avec des déflagrations au-dessus de Jérusalem et Tel‑Aviv
Sur la scène diplomatique, l'ONU juge les frappes comme une « escalade dangereuse » .
Des critiques internes aux États‑Unis ont fustigé l’action comme inconstitutionnelle, sans aval du Congrès, notamment de Reps. Massie et Khanna
Des dirigeants mondiaux, comme la Nouvelle-Zélande, ont appelé à la désescalade, tandis que des pays d’Amérique latine et d’Asie ont dénoncé une violation du droit international .
Conséquences et risque d’escalade
Des experts estiment que l’opération inflige un coup stratégique majeur au programme nucléaire iranien, tout en envoyant un signal fort aux autres puissances comme la Chine ou la Russie .
Les États‑Unis renforcent leur dispositif militaire dans la région, craignant des représailles potentielles de Téhéran via des frappes directes ou par groupes alliés comme les Houthis au Yémen .
Des bombardiers B‑2 ont largué six bombes bunker-buster de 13 600 kg sur Fordow, un site souterrain protégé, tandis que missiles Tomahawk ont visé Natanz et Ispahan
Trump a qualifié l’opération de succès spectaculaire, assurant que les avions américains avaient quitté l’espace aérien iranien et exigeant qu’« Iran fasse la paix », menaçant une riposte encore plus puissante si Téhéran répliquait
Israël, avec le Premier ministre Netanyahu, a salué l’action, la qualifiant de point tournant historique dans la sécurisation de la région
L’Iran reconnaît l'attaque mais affirme l’absence de contamination radioactive autour des sites
Il a immédiatement lancé des missiles contre Israël, avec des déflagrations au-dessus de Jérusalem et Tel‑Aviv
Sur la scène diplomatique, l'ONU juge les frappes comme une « escalade dangereuse » .
Des critiques internes aux États‑Unis ont fustigé l’action comme inconstitutionnelle, sans aval du Congrès, notamment de Reps. Massie et Khanna
Des dirigeants mondiaux, comme la Nouvelle-Zélande, ont appelé à la désescalade, tandis que des pays d’Amérique latine et d’Asie ont dénoncé une violation du droit international .
Conséquences et risque d’escalade
Des experts estiment que l’opération inflige un coup stratégique majeur au programme nucléaire iranien, tout en envoyant un signal fort aux autres puissances comme la Chine ou la Russie .
Les États‑Unis renforcent leur dispositif militaire dans la région, craignant des représailles potentielles de Téhéran via des frappes directes ou par groupes alliés comme les Houthis au Yémen .
Enjeux à venir
Escalade militaire : la région est désormais à haut risque d’un conflit généralisé.
Diplomatie sous tension : possible convocation du Conseil de sécurité de l’ONU.
Opinion publique américaine : divisions dans le camp politique sur la légitimité constitutionnelle et les implications à long terme.
En conclusion, cette opération constitue une escalade majeure dans le conflit Iran–Israël, avec les États‑Unis prenant un rôle militaire direct. Derrière le succès tactique, les enjeux stratégiques, juridiques et diplomatiques s’intensifient. La semaine à venir sera cruciale, tant sur le terrain que dans les chancelleries.
Diplomatie sous tension : possible convocation du Conseil de sécurité de l’ONU.
Opinion publique américaine : divisions dans le camp politique sur la légitimité constitutionnelle et les implications à long terme.
En conclusion, cette opération constitue une escalade majeure dans le conflit Iran–Israël, avec les États‑Unis prenant un rôle militaire direct. Derrière le succès tactique, les enjeux stratégiques, juridiques et diplomatiques s’intensifient. La semaine à venir sera cruciale, tant sur le terrain que dans les chancelleries.