Il prévoirait d’offrir 5.000 dollars à chaque personne acceptant de quitter le territoire pour une période indéterminée ou de se déplacer vers d’autres zones, assortis de quatre années de prise en charge de loyer et d’un an de soutien alimentaire. Pour les propriétaires, un mécanisme de “jetons numériques” serait proposé : ces unités pourraient, d’après le texte rapporté, être échangées soit contre des biens ou services ailleurs, soit contre un logement au sein de six à huit “villes intelligentes” projetées dans un Gaza reconstruit.
Le plan annonce également une orientation économique centrée sur l’implantation future d’industries, d’hôtels et de centres de services avancés. À l’issue des dix ans, l’administration transitoire céderait la gestion à une entité palestinienne présentée comme réformée. Le Washington Post indique que des personnes liées à une organisation privée impliquée dans l’aide à Gaza seraient à l’origine de ce document, sans caractère officiel établi à ce stade.
Le plan annonce également une orientation économique centrée sur l’implantation future d’industries, d’hôtels et de centres de services avancés. À l’issue des dix ans, l’administration transitoire céderait la gestion à une entité palestinienne présentée comme réformée. Le Washington Post indique que des personnes liées à une organisation privée impliquée dans l’aide à Gaza seraient à l’origine de ce document, sans caractère officiel établi à ce stade.