GENÈVE – juillet 2025 – Dans quelques jours, la ville de Genève deviendra l’épicentre des discussions francophones sur l’avenir numérique. Les 5 et 6 juillet 2025, s’y tiendra le Forum Francophone de la Gouvernance du Numérique et de l’Intelligence Artificielle, un rendez-vous stratégique organisé sous l’égide de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Pendant deux jours, une centaine d’intervenants – experts, ministres, entrepreneurs, régulateurs, universitaires – partageront leur vision des mutations numériques et proposeront des pistes d’action pour bâtir une gouvernance équitable et inclusive dans l’espace francophone.
Une ouverture de haut niveau pour poser le cadre
Dès l’ouverture, un Panel de Haut Niveau réunira des figures majeures du numérique mondial comme Doreen Bogdan-Martin (UIT), Amandeep Singh Gill (ONU), ou Luc Julia, co-créateur de Siri. Aux côtés de personnalités africaines, européennes et caribéennes, ils dresseront un état des lieux des grands défis à venir : souveraineté technologique, inclusion, encadrement éthique de l’IA, fractures numériques Nord-Sud, et coopération entre les pays francophones.
L’inclusion numérique au centre des préoccupations
Un panel thématique très attendu portera sur l’inclusion numérique, un enjeu brûlant dans plusieurs pays francophones. Les discussions mettront en lumière les inégalités d’accès aux infrastructures et aux usages, tout en proposant des stratégies concrètes. Des responsables gouvernementaux, experts et jeunes entrepreneurs africains y exposeront les leviers d’action pour connecter les territoires et former les talents de demain.
Garantir la visibilité des cultures francophones à l’ère des algorithmes
Le Forum s’intéressera également à la diversité culturelle et linguistique en ligne. Un panel intitulé « Diversité et découvrabilité » proposera des pistes pour faire émerger les contenus francophones dans un écosystème dominé par des plateformes anglophones et des logiques commerciales algorithmiques. Des artistes, chercheurs et régulateurs aborderont la question des quotas, des classements, et des outils de recommandation plus équitables.
Des ateliers pour construire des solutions concrètes
Plusieurs ateliers thématiques permettront d'approfondir des sujets techniques et stratégiques. Parmi eux :
l’élargissement de l’accès aux infrastructures numériques ;
la participation accrue des pays francophones à la gouvernance mondiale du numérique ;
les méthodes de mesure de la diversité culturelle en ligne ;
l’intégration des droits humains dans les politiques d’IA.
Les travaux seront animés par des experts de l’Internet Society, de l’OIF, de l’UIT ou encore d’universités canadiennes, africaines et européennes.
Une deuxième journée axée sur la gouvernance des données
Le 6 juillet, les débats se concentreront sur la gouvernance des données, un enjeu crucial à l’ère de l’interconnexion. Comment concilier sécurité, éthique, souveraineté et développement économique ? Un panel réunira des représentants du Conseil de l’Europe, de l’OMC, de la Croix-Rouge ou de gouvernements africains pour dessiner les contours d’un modèle francophone alternatif aux approches chinoises ou américaines.
Quand l’IA se met au service de la santé et de l’égalité
Une séquence spécifique sera consacrée à l’intelligence artificielle appliquée à la santé. Aurélien Macé restituera les conclusions de l’évènement thématique « Mettre l’IA au service de l’égalité dans le domaine de la santé ». L’accent sera mis sur l’accès équitable aux diagnostics, aux traitements et aux données médicales, notamment dans les pays à faibles ressources.
Une mosaïque de voix francophones pour penser le futur
Des figures aussi diverses que Henri Verdier (ambassadeur du numérique pour la France), Matina Razafimahefa (startuppeuse franco-malgache), ou encore Didier Awadi (artiste sénégalais engagé), viendront enrichir les échanges. Le Forum se distinguera par la richesse de ses perspectives et l’équilibre entre expertise institutionnelle et innovation citoyenne.
Vers une déclaration commune ?
Le Forum se clôturera par une restitution des ateliers et une possible formulation de recommandations communes. Si les attentes sont élevées, l’objectif reste modeste mais ambitieux : poser les bases d’une gouvernance numérique francophone, humaniste, éthique, inclusive et adaptée aux réalités du Sud global.
Une ouverture de haut niveau pour poser le cadre
Dès l’ouverture, un Panel de Haut Niveau réunira des figures majeures du numérique mondial comme Doreen Bogdan-Martin (UIT), Amandeep Singh Gill (ONU), ou Luc Julia, co-créateur de Siri. Aux côtés de personnalités africaines, européennes et caribéennes, ils dresseront un état des lieux des grands défis à venir : souveraineté technologique, inclusion, encadrement éthique de l’IA, fractures numériques Nord-Sud, et coopération entre les pays francophones.
L’inclusion numérique au centre des préoccupations
Un panel thématique très attendu portera sur l’inclusion numérique, un enjeu brûlant dans plusieurs pays francophones. Les discussions mettront en lumière les inégalités d’accès aux infrastructures et aux usages, tout en proposant des stratégies concrètes. Des responsables gouvernementaux, experts et jeunes entrepreneurs africains y exposeront les leviers d’action pour connecter les territoires et former les talents de demain.
Garantir la visibilité des cultures francophones à l’ère des algorithmes
Le Forum s’intéressera également à la diversité culturelle et linguistique en ligne. Un panel intitulé « Diversité et découvrabilité » proposera des pistes pour faire émerger les contenus francophones dans un écosystème dominé par des plateformes anglophones et des logiques commerciales algorithmiques. Des artistes, chercheurs et régulateurs aborderont la question des quotas, des classements, et des outils de recommandation plus équitables.
Des ateliers pour construire des solutions concrètes
Plusieurs ateliers thématiques permettront d'approfondir des sujets techniques et stratégiques. Parmi eux :
l’élargissement de l’accès aux infrastructures numériques ;
la participation accrue des pays francophones à la gouvernance mondiale du numérique ;
les méthodes de mesure de la diversité culturelle en ligne ;
l’intégration des droits humains dans les politiques d’IA.
Les travaux seront animés par des experts de l’Internet Society, de l’OIF, de l’UIT ou encore d’universités canadiennes, africaines et européennes.
Une deuxième journée axée sur la gouvernance des données
Le 6 juillet, les débats se concentreront sur la gouvernance des données, un enjeu crucial à l’ère de l’interconnexion. Comment concilier sécurité, éthique, souveraineté et développement économique ? Un panel réunira des représentants du Conseil de l’Europe, de l’OMC, de la Croix-Rouge ou de gouvernements africains pour dessiner les contours d’un modèle francophone alternatif aux approches chinoises ou américaines.
Quand l’IA se met au service de la santé et de l’égalité
Une séquence spécifique sera consacrée à l’intelligence artificielle appliquée à la santé. Aurélien Macé restituera les conclusions de l’évènement thématique « Mettre l’IA au service de l’égalité dans le domaine de la santé ». L’accent sera mis sur l’accès équitable aux diagnostics, aux traitements et aux données médicales, notamment dans les pays à faibles ressources.
Une mosaïque de voix francophones pour penser le futur
Des figures aussi diverses que Henri Verdier (ambassadeur du numérique pour la France), Matina Razafimahefa (startuppeuse franco-malgache), ou encore Didier Awadi (artiste sénégalais engagé), viendront enrichir les échanges. Le Forum se distinguera par la richesse de ses perspectives et l’équilibre entre expertise institutionnelle et innovation citoyenne.
Vers une déclaration commune ?
Le Forum se clôturera par une restitution des ateliers et une possible formulation de recommandations communes. Si les attentes sont élevées, l’objectif reste modeste mais ambitieux : poser les bases d’une gouvernance numérique francophone, humaniste, éthique, inclusive et adaptée aux réalités du Sud global.












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