La ville chinoise de Hangzhou rend obligatoire un module annuel d’intelligence artificielle
Selon le bureau local de l’Éducation, deux documents cadres ont été publiés : l’un définit les contenus pédagogiques, l’autre les standards de compétences exigés des enseignants chargés de ce nouvel enseignement. L’IA pourra être dispensée sous deux formats : soit concentrée sur une période d’apprentissage spécifique (module intensif), soit intégrée de manière transversale à des matières existantes comme les sciences ou la technologie de l’information.
Sensibiliser précocement les élèves aux usages courants des systèmes d’IA dans la vie quotidienne.
Introduire des notions fondamentales (classification, reconnaissance d’images, assistants vocaux) à un niveau adapté.
Aborder les enjeux éthiques et sociétaux : respect de la vie privée, protection des données personnelles, biais potentiels des algorithmes.
Dès les premières années de primaire, l’approche privilégiera l’observation et l’expérimentation simple (exemples d’applications, jeux éducatifs), tandis que les niveaux supérieurs devraient évoluer vers une compréhension plus structurée des principes et processus derrière les technologies intelligentes.
Le dispositif prévoit la montée en compétences des enseignants existants plutôt que la création immédiate d’un corps spécialisé. Les standards publiés détaillent les attentes en matière :
Réduction potentielle des inégalités d’accès aux savoirs numériques selon les établissements.
Constitution d’une base commune de connaissances facilitant l’orientation ultérieure vers les filières scientifiques ou technologiques.
Prévention des usages imprudents de services basés sur l’IA par une meilleure compréhension des limites et risques.
Modèle potentiellement réplicable dans d’autres municipalités si les retours d’expérience sont positifs.
Les autorités n’ont pas, à ce stade, détaillé les outils logiciels ou plateformes qui seront privilégiés, ni le calendrier de déploiement progressif des formations destinées aux enseignants. Les premiers retours des établissements serviront probablement à ajuster rythme et profondeur des contenus.
Sensibiliser précocement les élèves aux usages courants des systèmes d’IA dans la vie quotidienne.
Introduire des notions fondamentales (classification, reconnaissance d’images, assistants vocaux) à un niveau adapté.
Aborder les enjeux éthiques et sociétaux : respect de la vie privée, protection des données personnelles, biais potentiels des algorithmes.
Dès les premières années de primaire, l’approche privilégiera l’observation et l’expérimentation simple (exemples d’applications, jeux éducatifs), tandis que les niveaux supérieurs devraient évoluer vers une compréhension plus structurée des principes et processus derrière les technologies intelligentes.
Le dispositif prévoit la montée en compétences des enseignants existants plutôt que la création immédiate d’un corps spécialisé. Les standards publiés détaillent les attentes en matière :
- d’aptitude à illustrer des concepts abstraits par des cas concrets ;
- de maîtrise des enjeux de sécurité et d’éthique numérique ;
- d’intégration harmonieuse des modules IA sans alourdir la charge horaire globale.
Réduction potentielle des inégalités d’accès aux savoirs numériques selon les établissements.
Constitution d’une base commune de connaissances facilitant l’orientation ultérieure vers les filières scientifiques ou technologiques.
Prévention des usages imprudents de services basés sur l’IA par une meilleure compréhension des limites et risques.
Modèle potentiellement réplicable dans d’autres municipalités si les retours d’expérience sont positifs.
Les autorités n’ont pas, à ce stade, détaillé les outils logiciels ou plateformes qui seront privilégiés, ni le calendrier de déploiement progressif des formations destinées aux enseignants. Les premiers retours des établissements serviront probablement à ajuster rythme et profondeur des contenus.


