Poème à écouter en musique de Dr Anwar CHERKAOUI
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Dr Anwar CHERKAOUI
Ils ont voulu tuer l’enfant.
Ils ont voulu effacer son nom, son rire, son avenir.
Mais l’enfant de Gaza…
Vit.
Il vit à Rabat.
Il marche à Béni Mellal.
Il respire à Berrechid.
Il renaît, encore, et encore.
Ce dimanche 6 avril 2025,
La ville de Rabat a parlé.
Des milliers de voix.
Des milliers de cœurs.
Et dans ces cœurs… Gaza.
Des enfants de quatre, de dix, de quatorze ans,
venus de tout le Maroc,
dans les bras de leurs mères,
sur les épaules de leurs pères,
ou marchant fièrement,
le drapeau de la Palestine dans une main,
et la lumière de la justice dans les yeux.
Ils avancent,
petits mais immenses.
Fragiles mais invincibles.
Ils disent :
"Vous pouvez bombarder nos frères à Gaza…
mais vous ne pouvez pas tuer leur mémoire."
Car à chaque enfant tué là-bas,
un autre se lève ici.
À Gaza, vous semez la mort…
Mais ici, au Maroc,
nous cultivons l’espérance.
Et dans l’ADN de chaque enfant arabe,
il est écrit, en lettres de feu :
"L’enfant de Gaza ne mourra jamais
Ils ont voulu effacer son nom, son rire, son avenir.
Mais l’enfant de Gaza…
Vit.
Il vit à Rabat.
Il marche à Béni Mellal.
Il respire à Berrechid.
Il renaît, encore, et encore.
Ce dimanche 6 avril 2025,
La ville de Rabat a parlé.
Des milliers de voix.
Des milliers de cœurs.
Et dans ces cœurs… Gaza.
Des enfants de quatre, de dix, de quatorze ans,
venus de tout le Maroc,
dans les bras de leurs mères,
sur les épaules de leurs pères,
ou marchant fièrement,
le drapeau de la Palestine dans une main,
et la lumière de la justice dans les yeux.
Ils avancent,
petits mais immenses.
Fragiles mais invincibles.
Ils disent :
"Vous pouvez bombarder nos frères à Gaza…
mais vous ne pouvez pas tuer leur mémoire."
Car à chaque enfant tué là-bas,
un autre se lève ici.
À Gaza, vous semez la mort…
Mais ici, au Maroc,
nous cultivons l’espérance.
Et dans l’ADN de chaque enfant arabe,
il est écrit, en lettres de feu :
"L’enfant de Gaza ne mourra jamais
Ce poème est un cri de vie, un chant de résistance dédié à l'enfant de Gaza, que l'on a tenté d'effacer.
Mais cet enfant ne meurt pas : il renaît ailleurs, au Maroc, dans les rues de Rabat, de Béni Mellal, de Berrechid. Il vit dans les regards, les pas, les cris des enfants marocains venus par milliers avec leurs familles manifester pour Gaza le 6 avril 2025. Ces enfants, fragiles mais puissants, porteurs du drapeau palestinien, sont les témoins vivants de la mémoire collective. Face aux bombes et à la haine, ils opposent leur dignité et leur lumière. Le poème affirme une vérité poignante : chaque enfant tué à Gaza donne naissance à un autre, ailleurs, prêt à porter son nom, sa cause et son espoir. L’enfant de Gaza devient éternel, inscrit dans l’ADN de tous les enfants arabes. La mort ne gagne pas : l’espérance grandit.