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Par Saïd Temsamani
Dans un paysage politique souvent accusé de sclérose et de déconnexion avec les attentes citoyennes, une lueur d’espérance vient rappeler que le renouveau n’est ni une utopie, ni un slogan : c’est une stratégie, un choix, un engagement. Le Parti de l’Istiqlal vient d’en apporter la preuve éclatante en accueillant, à travers son Académie de la jeunesse, une première promotion de 150 jeunes issus de toutes les régions du Royaume.
Ce geste est tout sauf symbolique. Il témoigne d’une conviction profonde : la jeunesse marocaine ne doit plus rester en marge de la construction démocratique. Elle mérite d’être formée, écoutée, outillée. Elle mérite surtout de croire de nouveau en la politique comme levier de transformation collective et non comme simple exercice de pouvoir.
Sous l’impulsion de son secrétaire général, Nizar Baraka, le Parti de l’Istiqlal ne se contente pas d’ouvrir ses portes. Il bâtit un véritable écosystème de transmission et de responsabilisation, où les jeunes sont invités non seulement à comprendre les grands enjeux de la nation, mais aussi à s’y inscrire activement. Cette démarche rompt avec les logiques d’instrumentalisation conjoncturelle ou de représentation décorative. Elle s’ancre dans une ambition de long terme : faire émerger une nouvelle élite politique, à la fois compétente, enracinée et tournée vers l’avenir.
Le moment est historique. Le Maroc entre dans une phase de mutations profondes - réforme de l’éducation, régionalisation avancée, développement durable, justice sociale - qui nécessitent des intelligences fraîches, des imaginaires renouvelés, et une capacité d’écoute du terrain. Former aujourd’hui la relève politique, c’est préparer dès maintenant les conditions de la confiance retrouvée entre institutions et citoyens.
L’Istiqlal fait le pari de la jeunesse, non par calcul, mais par fidélité à sa vocation historique : être un parti de projet, de transmission et d’action. À travers cette académie, il ne forme pas simplement des militants. Il façonne les bâtisseurs d’un Maroc plus équitable, plus solidaire, plus souverain.
Et cela, c’est peut-être la plus belle réponse qu’un parti puisse donner à l’air du temps.
Ce geste est tout sauf symbolique. Il témoigne d’une conviction profonde : la jeunesse marocaine ne doit plus rester en marge de la construction démocratique. Elle mérite d’être formée, écoutée, outillée. Elle mérite surtout de croire de nouveau en la politique comme levier de transformation collective et non comme simple exercice de pouvoir.
Sous l’impulsion de son secrétaire général, Nizar Baraka, le Parti de l’Istiqlal ne se contente pas d’ouvrir ses portes. Il bâtit un véritable écosystème de transmission et de responsabilisation, où les jeunes sont invités non seulement à comprendre les grands enjeux de la nation, mais aussi à s’y inscrire activement. Cette démarche rompt avec les logiques d’instrumentalisation conjoncturelle ou de représentation décorative. Elle s’ancre dans une ambition de long terme : faire émerger une nouvelle élite politique, à la fois compétente, enracinée et tournée vers l’avenir.
Le moment est historique. Le Maroc entre dans une phase de mutations profondes - réforme de l’éducation, régionalisation avancée, développement durable, justice sociale - qui nécessitent des intelligences fraîches, des imaginaires renouvelés, et une capacité d’écoute du terrain. Former aujourd’hui la relève politique, c’est préparer dès maintenant les conditions de la confiance retrouvée entre institutions et citoyens.
L’Istiqlal fait le pari de la jeunesse, non par calcul, mais par fidélité à sa vocation historique : être un parti de projet, de transmission et d’action. À travers cette académie, il ne forme pas simplement des militants. Il façonne les bâtisseurs d’un Maroc plus équitable, plus solidaire, plus souverain.
Et cela, c’est peut-être la plus belle réponse qu’un parti puisse donner à l’air du temps.