La chanteuse marocaine Jaylann, connue pour ses clips qui mettent en avant le patrimoine culturel et l’identité marocaine, traverse une période difficile. Depuis plusieurs semaines, elle est la cible d’un cyberharcèlement raciste, principalement orchestré par des internautes se revendiquant algériens. Une vague haineuse qui soulève des questions profondes sur le racisme en ligne et les tensions entre communautés.
Une vague de haine raciste et sexiste
Tout a commencé après la publication de son dernier clip, où Jaylann célèbre avec fierté son héritage marocain et amazigh. Mais plutôt que de recevoir des critiques artistiques ou des encouragements, elle s’est retrouvée confrontée à un torrent d’insultes racistes. Parmi les termes utilisés, certains internautes l’ont qualifiée de « Sénégalaise » dans une intention clairement péjorative, cherchant à rabaisser non seulement la chanteuse, mais aussi une partie de l’identité marocaine.
Les insultes ne s’arrêtent pas là : des mots comme « sanghouli », teintés de stéréotypes coloniaux et d’un racisme décomplexé, ont également été employés. Ces attaques, bien au-delà de Jaylann, visent à utiliser la communauté subsaharienne comme un outil de dénigrement envers les Marocains. Une pratique inquiétante qui reflète une fracture idéologique entre certains groupes sur les réseaux sociaux.
Jaylann : une voix libre et fière
Face à cette vague haineuse, Jaylann ne plie pas. Elle incarne une jeunesse marocaine et amazighe libre, fière de son héritage et de sa culture, et refuse de se laisser réduire à des insultes racistes et sexistes. En célébrant ses racines dans ses œuvres, elle donne une voix à une génération qui revendique son identité sans compromis.
Son clip, loin d’être une simple vidéo musicale, est une déclaration d’amour à son pays et à sa culture. En mettant en avant des éléments du patrimoine marocain, elle réaffirme la richesse et la diversité de l’identité marocaine, tout en rappelant les liens historiques et culturels profonds entre le Maroc et d’autres pays africains comme le Sénégal.
Réactions et appels à l’unité africaine
Sur les réseaux sociaux, les réactions ne se sont pas fait attendre. De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer ce cyberharcèlement raciste, appelant à la solidarité entre les peuples africains. Certains internautes marocains ont réaffirmé leur fierté africaine, rappelant les liens historiques entre le Maroc et le Sénégal, empreints de respect mutuel.
Des associations de lutte contre le racisme, notamment en France où bon nombre de ces comptes haineux semblent être localisés, ont également été interpellées pour agir contre ces propos. Ce harcèlement en ligne, qui relève d’agressions verbales et de cyberviolence, montre l’urgence de légiférer et de sensibiliser sur le racisme numérique.
Une artiste à soutenir
Jaylann, malgré les attaques, reste une figure forte de la scène musicale marocaine. Son engagement pour célébrer l’identité marocaine et amazighe mérite d’être salué. Si vous êtes fan de musique qui porte un message, de clips qui célèbrent la culture, ou simplement de voix qui refusent de plier face à la haine, alors Jaylann est une artiste à suivre de près.
Une vague de haine raciste et sexiste
Tout a commencé après la publication de son dernier clip, où Jaylann célèbre avec fierté son héritage marocain et amazigh. Mais plutôt que de recevoir des critiques artistiques ou des encouragements, elle s’est retrouvée confrontée à un torrent d’insultes racistes. Parmi les termes utilisés, certains internautes l’ont qualifiée de « Sénégalaise » dans une intention clairement péjorative, cherchant à rabaisser non seulement la chanteuse, mais aussi une partie de l’identité marocaine.
Les insultes ne s’arrêtent pas là : des mots comme « sanghouli », teintés de stéréotypes coloniaux et d’un racisme décomplexé, ont également été employés. Ces attaques, bien au-delà de Jaylann, visent à utiliser la communauté subsaharienne comme un outil de dénigrement envers les Marocains. Une pratique inquiétante qui reflète une fracture idéologique entre certains groupes sur les réseaux sociaux.
Jaylann : une voix libre et fière
Face à cette vague haineuse, Jaylann ne plie pas. Elle incarne une jeunesse marocaine et amazighe libre, fière de son héritage et de sa culture, et refuse de se laisser réduire à des insultes racistes et sexistes. En célébrant ses racines dans ses œuvres, elle donne une voix à une génération qui revendique son identité sans compromis.
Son clip, loin d’être une simple vidéo musicale, est une déclaration d’amour à son pays et à sa culture. En mettant en avant des éléments du patrimoine marocain, elle réaffirme la richesse et la diversité de l’identité marocaine, tout en rappelant les liens historiques et culturels profonds entre le Maroc et d’autres pays africains comme le Sénégal.
Réactions et appels à l’unité africaine
Sur les réseaux sociaux, les réactions ne se sont pas fait attendre. De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer ce cyberharcèlement raciste, appelant à la solidarité entre les peuples africains. Certains internautes marocains ont réaffirmé leur fierté africaine, rappelant les liens historiques entre le Maroc et le Sénégal, empreints de respect mutuel.
Des associations de lutte contre le racisme, notamment en France où bon nombre de ces comptes haineux semblent être localisés, ont également été interpellées pour agir contre ces propos. Ce harcèlement en ligne, qui relève d’agressions verbales et de cyberviolence, montre l’urgence de légiférer et de sensibiliser sur le racisme numérique.
Une artiste à soutenir
Jaylann, malgré les attaques, reste une figure forte de la scène musicale marocaine. Son engagement pour célébrer l’identité marocaine et amazighe mérite d’être salué. Si vous êtes fan de musique qui porte un message, de clips qui célèbrent la culture, ou simplement de voix qui refusent de plier face à la haine, alors Jaylann est une artiste à suivre de près.


