Du 25 au 27 septembre, Rabat accueille la 27e édition du festival Jazz au Chellah, qui change de nom et de cadre pour devenir Jazz à Rabat. Direction l’amphithéâtre du parc Hassan II, un spot en plein cœur de la capitale, où les mélodies méditerranéennes et les rythmes marocains vont se rencontrer dans une ambiance électrique.
Un nouveau chapitre pour le festival
Portée par l’Union européenne au Maroc, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, cette édition marque un tournant. Fini les vibes historiques du Chellah, place à une scène plus moderne et accessible. Ce changement de lieu n’est pas qu’un détail : il reflète la volonté de rapprocher la musique des habitants de Rabat tout en célébrant l’esprit de dialogue interculturel qui fait la singularité de ce rendez-vous.
Mais pas question de perdre l’essence du festival : Jazz à Rabat reste fidèle à son ADN, avec des collaborations inédites entre artistes marocains et européens, nées de résidences musicales. Et spoiler alert : la programmation est un vrai melting-pot de styles et d’énergies.
Des rencontres musicales qui promettent du lourd
Le coup d’envoi sera donné jeudi 25 septembre avec le Tania Giannouli Trio (Grèce-Allemagne), accompagné par le percussionniste marocain Abdelfettah Houssaini. Leur création mêle les sonorités méditerranéennes à la richesse des rythmes marocains. La soirée continue avec le Céline Bonacina Quartet – JUMP!, qui partagera la scène avec le duo marocain Hamza Bennani Smires & Driss Nigra. Une ouverture sous le signe de l’énergie et de la fusion !
Vendredi 26 septembre, cap sur les sonorités catalanes avec l’Alba Careta Group, qui dialoguera avec le Jazz’in Trio de Tanger. Mais la vraie surprise, c’est les artistes hongroises Sara Bolyki & Petra Várallyay, qui partageront la scène avec le Tchubi Sextet, une formation marocaine qui mixe rap, groove urbain et jazz. Oui, oui, du rap dans un festival de jazz, et ça promet d’être incroyable.
Enfin, samedi 27 septembre, le public découvrira le A.M.E. Trio (Belgique) aux côtés du jeune prodige agadirien Mehdi Qamoum, qui marie traditions amazighes et musiques du monde. La clôture sera assurée par la chanteuse suédoise Lina Nyberg et son quartet, en complicité avec le groupe marocain Bab L’Bluz, pionnier d’un rock gnaoua moderne.
Un festival qui vit au-delà de la scène
Mais Jazz à Rabat, ce n’est pas que des concerts. Le festival propose aussi des spectacles de rue dans la ville et des ateliers participatifs. Le 26 septembre, le batteur Stéphane Galland animera une initiation aux percussions à Rabat, tandis que le rappeur Tchubi mènera un atelier de création collective le 28 septembre à Casablanca, accompagné d’Axel Camil et Adil Hanin. Une belle façon de connecter les artistes avec le public, et peut-être de révéler de nouveaux talents.
Pourquoi y aller ?
Jazz à Rabat, c’est bien plus qu’un festival : c’est une expérience. Entre les mélodies envoûtantes, les collaborations inédites et l’ambiance chill du parc Hassan II, il y a de quoi se laisser porter par la magie de la musique. Alors, que vous soyez fan de jazz, de rap ou simplement curieux, ne ratez pas ce rendez-vous.
Un nouveau chapitre pour le festival
Portée par l’Union européenne au Maroc, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, cette édition marque un tournant. Fini les vibes historiques du Chellah, place à une scène plus moderne et accessible. Ce changement de lieu n’est pas qu’un détail : il reflète la volonté de rapprocher la musique des habitants de Rabat tout en célébrant l’esprit de dialogue interculturel qui fait la singularité de ce rendez-vous.
Mais pas question de perdre l’essence du festival : Jazz à Rabat reste fidèle à son ADN, avec des collaborations inédites entre artistes marocains et européens, nées de résidences musicales. Et spoiler alert : la programmation est un vrai melting-pot de styles et d’énergies.
Des rencontres musicales qui promettent du lourd
Le coup d’envoi sera donné jeudi 25 septembre avec le Tania Giannouli Trio (Grèce-Allemagne), accompagné par le percussionniste marocain Abdelfettah Houssaini. Leur création mêle les sonorités méditerranéennes à la richesse des rythmes marocains. La soirée continue avec le Céline Bonacina Quartet – JUMP!, qui partagera la scène avec le duo marocain Hamza Bennani Smires & Driss Nigra. Une ouverture sous le signe de l’énergie et de la fusion !
Vendredi 26 septembre, cap sur les sonorités catalanes avec l’Alba Careta Group, qui dialoguera avec le Jazz’in Trio de Tanger. Mais la vraie surprise, c’est les artistes hongroises Sara Bolyki & Petra Várallyay, qui partageront la scène avec le Tchubi Sextet, une formation marocaine qui mixe rap, groove urbain et jazz. Oui, oui, du rap dans un festival de jazz, et ça promet d’être incroyable.
Enfin, samedi 27 septembre, le public découvrira le A.M.E. Trio (Belgique) aux côtés du jeune prodige agadirien Mehdi Qamoum, qui marie traditions amazighes et musiques du monde. La clôture sera assurée par la chanteuse suédoise Lina Nyberg et son quartet, en complicité avec le groupe marocain Bab L’Bluz, pionnier d’un rock gnaoua moderne.
Un festival qui vit au-delà de la scène
Mais Jazz à Rabat, ce n’est pas que des concerts. Le festival propose aussi des spectacles de rue dans la ville et des ateliers participatifs. Le 26 septembre, le batteur Stéphane Galland animera une initiation aux percussions à Rabat, tandis que le rappeur Tchubi mènera un atelier de création collective le 28 septembre à Casablanca, accompagné d’Axel Camil et Adil Hanin. Une belle façon de connecter les artistes avec le public, et peut-être de révéler de nouveaux talents.
Pourquoi y aller ?
Jazz à Rabat, c’est bien plus qu’un festival : c’est une expérience. Entre les mélodies envoûtantes, les collaborations inédites et l’ambiance chill du parc Hassan II, il y a de quoi se laisser porter par la magie de la musique. Alors, que vous soyez fan de jazz, de rap ou simplement curieux, ne ratez pas ce rendez-vous.
