Encore une fois, l’Algérie dégaine le ton de la réprobation solennelle. Cette fois-ci, c’est la récente déclaration du Royaume-Uni en faveur du plan d’autonomie marocain pour le Sahara qui fait sortir le ministère algérien des Affaires étrangères de ses gonds. Dans un communiqué daté du 1er juin 2025, Alger "prend connaissance", "regrette", "relève", "réaffirme", et surtout... "dénonce".
Il faut dire que la pilule est amère : Londres, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, a apporté son soutien au plan d’autonomie marocain, une position que Rabat défend depuis 2007 comme solution "sérieuse, réaliste et crédible" au conflit saharien.
Ce n’est pas la première fois que l’Algérie s’oppose frontalement au soutien international croissant en faveur de la proposition marocaine. Des États-Unis à l’Allemagne, en passant par l’Espagne et les Pays-Bas, la reconnaissance explicite du plan d’autonomie comme base de solution gagne du terrain. Et à chaque fois, Alger publie un communiqué dénonçant ces positions pro-marocaine.
La sortie britannique a donc ravivé ce réflexe diplomatique algérien : durcir le ton, évoquer l’illégalité du plan d’autonomie, et dénoncer toute tentative de "normalisation internationale" du contrôle marocain sur le Sahara. Sans oublier bien sûr, l’appel au "droit à l’autodétermination" brandi comme un étendard immuable.
Ce communiqué est-il un signal ? Certainement pas nouveau. Il s’inscrit dans une série de prises de positions répétitives, où Alger joue sa partition diplomatique bien rodée face à l’élargissement du front pro-marocain. Mais son efficacité interroge : les condamnations verbales d’Alger n’ont jusqu’ici pas inversé le mouvement de reconnaissance internationale en faveur du plan d’autonomie.
En résumé : l’Algérie proteste, encore. Le Royaume-Uni soutient l’autonomie . Et la bataille diplomatique autour du Sahara continue, avec le Maroc qui engrange les soutiens, et Alger qui continue de... râler comme d’habitude.
Il faut dire que la pilule est amère : Londres, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, a apporté son soutien au plan d’autonomie marocain, une position que Rabat défend depuis 2007 comme solution "sérieuse, réaliste et crédible" au conflit saharien.
Ce n’est pas la première fois que l’Algérie s’oppose frontalement au soutien international croissant en faveur de la proposition marocaine. Des États-Unis à l’Allemagne, en passant par l’Espagne et les Pays-Bas, la reconnaissance explicite du plan d’autonomie comme base de solution gagne du terrain. Et à chaque fois, Alger publie un communiqué dénonçant ces positions pro-marocaine.
La sortie britannique a donc ravivé ce réflexe diplomatique algérien : durcir le ton, évoquer l’illégalité du plan d’autonomie, et dénoncer toute tentative de "normalisation internationale" du contrôle marocain sur le Sahara. Sans oublier bien sûr, l’appel au "droit à l’autodétermination" brandi comme un étendard immuable.
Ce communiqué est-il un signal ? Certainement pas nouveau. Il s’inscrit dans une série de prises de positions répétitives, où Alger joue sa partition diplomatique bien rodée face à l’élargissement du front pro-marocain. Mais son efficacité interroge : les condamnations verbales d’Alger n’ont jusqu’ici pas inversé le mouvement de reconnaissance internationale en faveur du plan d’autonomie.
En résumé : l’Algérie proteste, encore. Le Royaume-Uni soutient l’autonomie . Et la bataille diplomatique autour du Sahara continue, avec le Maroc qui engrange les soutiens, et Alger qui continue de... râler comme d’habitude.