C’est un drôle de type. Il n’a ni badge VIP, ni délégation ministérielle, ni tente sponsorisée. Il n’a même pas de carte de presse. Mais il est là, à chaque édition. Silencieux, flottant entre les stands, les conférences, les pauses-café où les accords se nouent à coups de petits fours. C’est l’Avocat du Diable.
Pourquoi est-il venu au SIAM 2025 ? Parce que tout le monde y est. Parce qu’on y célèbre l’agriculture marocaine comme un patrimoine, un espoir, un business. Parce que, dans le tumulte des chiffres, des trophées, des tables rondes, il faut bien quelqu’un pour écouter ce qui ne se dit pas. Et dire ce qui se pense tout bas.
L’Avocat du Diable a tout vu. Les semences enrobées comme des bijoux. Les drones volants au-dessus des serres. Les panneaux solaires qui brillent plus que les rendements. Il a tout entendu. Les ministres, les experts, les startuppers, les coopérateurs enthousiastes… et même les silences gênés des ruraux fatigués.
Et maintenant, il fait son boulot. Il rédige un compte rendu. Insolite, bien sûr. Parfois caustique. Toujours sincère. Il n’est pas là pour plomber l’ambiance, mais pour secouer les certitudes. Pour montrer les angles morts du progrès. Pour rappeler que l’agriculture, ce n’est pas qu’un slogan. C’est une bataille quotidienne, dans les champs comme dans les bureaux.
Cet IMAG spécial SIAM 2025, il l’adresse à qui de droit : la rédaction de L’ODJ Média, ce média qui ose donner la parole aux esprits libres, aux voix marginales, aux diseurs de vérités floues. Car dans un salon où tout semble “aller de l’avant”, quelqu’un devait marcher à reculons, pour voir ce qu’on laisse derrière.
Pourquoi est-il venu au SIAM 2025 ? Parce que tout le monde y est. Parce qu’on y célèbre l’agriculture marocaine comme un patrimoine, un espoir, un business. Parce que, dans le tumulte des chiffres, des trophées, des tables rondes, il faut bien quelqu’un pour écouter ce qui ne se dit pas. Et dire ce qui se pense tout bas.
L’Avocat du Diable a tout vu. Les semences enrobées comme des bijoux. Les drones volants au-dessus des serres. Les panneaux solaires qui brillent plus que les rendements. Il a tout entendu. Les ministres, les experts, les startuppers, les coopérateurs enthousiastes… et même les silences gênés des ruraux fatigués.
Et maintenant, il fait son boulot. Il rédige un compte rendu. Insolite, bien sûr. Parfois caustique. Toujours sincère. Il n’est pas là pour plomber l’ambiance, mais pour secouer les certitudes. Pour montrer les angles morts du progrès. Pour rappeler que l’agriculture, ce n’est pas qu’un slogan. C’est une bataille quotidienne, dans les champs comme dans les bureaux.
Cet IMAG spécial SIAM 2025, il l’adresse à qui de droit : la rédaction de L’ODJ Média, ce média qui ose donner la parole aux esprits libres, aux voix marginales, aux diseurs de vérités floues. Car dans un salon où tout semble “aller de l’avant”, quelqu’un devait marcher à reculons, pour voir ce qu’on laisse derrière.
