Globalement, l’activité économique afficherait une amélioration de 3,2 %, au second trimestre 2023, en variation annuelle, au lieu d’une hausse de 2 % au cours de la même période de l’année passée, indique l’INAC qui attribue cette évolution à l’effet conjugué d’un certain nombre de facteurs :
D’abord, la valeur ajoutée hors agriculture afficherait, %, en variation annuelle, une progression de 3,2 %.
En détails, l’INAC estime que :
La contribution de la demande intérieure à la croissance du PIB s’élèverait à 2,3 points, après 2,2 points une année auparavant. Et ce, suite à une progression de 3,7 % des dépenses de consommation des administrations publiques, une hausse modérée des dépenses de consommation des ménages et un repli de l’investissement.
Les industries manufacturières, tirées par un redressement des industries chimiques, réaliseraient une croissance de 2,1 %.
Les perspectives de croissance de la demande internationale de fertilisants sont favorables à un redressement du commerce mondial des engrais à base phosphatée, après un abaissement de 2,1 % en 2022.
Grâce à la poursuite de l’affermissement du tourisme et du transport, les services conserveraient leur dynamique, contribuant pour 2,3 points à la croissance économique globale.
En variation annuelle, l’activité de la construction enregistrerait une baisse de 3,5 %, sur fond de l’alourdissement des charges d’intérêt et la faible reprise du marché de l’immobilier.
Ensuite, l’agriculture, l’activité poursuivrait son redressement au rythme de 2,9 % portée par une amélioration mécanique de la production végétale, après une chute de 17 % en 2022.
Les récoltes des cultures maraîchères et des rosacés seraient en stagnation, alors que celles des céréales et des légumineuses, suite à un effet de base favorable, connaîtraient une augmentation sensible.
D’abord, la valeur ajoutée hors agriculture afficherait, %, en variation annuelle, une progression de 3,2 %.
En détails, l’INAC estime que :
La contribution de la demande intérieure à la croissance du PIB s’élèverait à 2,3 points, après 2,2 points une année auparavant. Et ce, suite à une progression de 3,7 % des dépenses de consommation des administrations publiques, une hausse modérée des dépenses de consommation des ménages et un repli de l’investissement.
Les industries manufacturières, tirées par un redressement des industries chimiques, réaliseraient une croissance de 2,1 %.
Les perspectives de croissance de la demande internationale de fertilisants sont favorables à un redressement du commerce mondial des engrais à base phosphatée, après un abaissement de 2,1 % en 2022.
Grâce à la poursuite de l’affermissement du tourisme et du transport, les services conserveraient leur dynamique, contribuant pour 2,3 points à la croissance économique globale.
En variation annuelle, l’activité de la construction enregistrerait une baisse de 3,5 %, sur fond de l’alourdissement des charges d’intérêt et la faible reprise du marché de l’immobilier.
Ensuite, l’agriculture, l’activité poursuivrait son redressement au rythme de 2,9 % portée par une amélioration mécanique de la production végétale, après une chute de 17 % en 2022.
Les récoltes des cultures maraîchères et des rosacés seraient en stagnation, alors que celles des céréales et des légumineuses, suite à un effet de base favorable, connaîtraient une augmentation sensible.